blagues à jo, pas pour les petits

Trois femmes

Trois femmes - une fiancée, une maitresse, une mariée - sont en train de
parler de leur relation avec leur homme.

Elles décident de faire quelque chose pour exciter leur homme et de se
rencontrer quelques jours plus tard pour en reparler et se raconter
comment cela s'est passé.


Elles s'engagent à attendre leur homme le soir même, vêtue d'un corset
genre SM, hauts talons, bas résille et masque noirs.


Quelques jours plus tard elles se retrouvent et racontent.


La fiancée :


L'autre soir, quand mon fiancé est arrivé à la maison, il m'a trouvée
vêtue avec le body de cuir, les hauts talons, le masque Il m'a regardé
avec de grands yeux, m'a dit que je suis la femme de ses rêves, qu'il
m'aime et nous avons fait l'amour toute la nuit.


La maitresse :


Moi aussi j'ai reçu mon amant vêtue de la même façon.


Quand il est entré chez moi, il m'a regardée, n'a rien dit, mais nous
avons eu une nuit super chaude !!!


La femme mariée :


L'autre soir, j'ai envoyé les enfants loger chez ma mère puis je me suis
habillée aussi en cuir noir : body, hauts talons, masque...


Mon mari est rentré du travail, a ouvert la porte et m'a dit :





Salut Batman, qu'est ce qu'on mange ?

ça dépend de la mariée aussi, si elle ressemble à une des windwalkers de la ferté, le seul truc qui sort de ma bouche c'est un filet de bave

laquelle la brune ou la blonde??

RTA_Mc givré a écrit:

ça dépend de la mariée aussi, si elle ressemble à une des windwalkers de la ferté, le seul truc qui sort de ma bouche c'est un filet de bave

Normal t'es encore ados, le moindre petit néné vous mets en émoi à cet âge là, attend d'avoir + de 40, tu verras tes critères vont devenir 'achement plus large (dans tous les sens du terme d'ailleurs, voir même au propre (mouai) comme au figuré).

Lol !!!!!

+ de 40, tu verras tes critères vont devenir 'achement plus large (dans tous les sens du terme d'ailleurs, voir même au propre (mouai) comme au figuré).

:affraid: que dire a 60,,,,,, ma pôve dame ,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,,:pars:

615sqn_Devarenne a écrit:laquelle la brune ou la blonde??

Les 2 mon capitaine !!! :dents:

proverbes breton:

Quand le goéland se gratte le gland, c'est qu'il ne fera pas beau temps.
Quand il se gratte le cul c'est qu'il ne fera pas beau non plus!

Qui pisse contre le vent, se rince les dents.

Les passagers d un avion sont assis à leur place et attendent les
pilotes pour le décollage. Bientôt, deux hommes entrent dans l avion,en
uniforme de pilote; ils portent des lunettes noires. L un d eux est
accompagné d un chien pour aveugle et l autre tâte son chemin à l aide
d une canne blanche. Ils avancent dans l allée, entrent dans la cabine
de pilotage et referment la porte.
Plusieurs passagers rient nerveusement et tous se regardent avec une
expression allant de la surprise à la peur ou au scepticisme; certains
cherchent les cameras cachées.
Quelques instants plus tard, les moteurs de l avion s allument et l
avion prend de la vitesse sur la piste. Il va de plus en plus vite et
ne semble jamais devoir décoller. Les passagers regardent par les
hublots et réalisent que l avion se dirige tout droit vers le lac qui
se trouve en bout de piste. L 'avion roule maintenant très vite sur la
piste et plusieurs voyageurs réalisent qu ils ne décolleront jamais et
qu ils vont tous plonger dans le lac. Les cris des passagers apeurés
remplissent alors l'avion, mais juste à ce moment, l avion décolle tout
doucement, sans problème.
Les passagers se remettent alors de leurs émotions, rient, se sentant
stupides d avoir été roulés par cette mauvaise plaisanterie. Quelques
minutes plus tard, l incident est oublié.
Dans la cabine de pilotage, le pilote tâte le tableau de bord, trouve
le bouton du pilote automatique et le met en fonction. Il dit ensuite
au copilote:
- Tu sais ce qui me fait peur?
- Non, répond l autre.
- Un de ces jours, ils vont crier trop tard et on va tous mourir.

Un homme sort d'un bar très tard le soir complètement ivre.
Arrivé sur la parking dudit bar il se trouve face à un véritable problème :

- Bordel! hips! Comment je vais retrouver hips ma voiture hips !

C'est alors qu'il trouve l'idée en touchant le toit de chacune des voitures sur le parking. Et cela dure plusieurs minutes jusqu'à ce que la scène interpelle un passant :

- Monsieur que faites-vous donc ?

- J'essaye de retrouver ma voiture !

- Allons vous ne la retrouverez pas en passant votre main sur le toit de toutes les voitures !

- Si, car la mienne a un gyrophare dessus...

déja vu gogo ^^

Jean-François, un superbe jeune homme entre dans un pub de sport vers 21h58.
> > Il s'assoit près d'une belle blonde au bar et regarde la télé à ses côtés....
> > Les nouvelles de 22h00 commencent. Le présentateur raconte l'histoire d'un homme qui se tient sur le toit d'un édifice et qui menace de sauter.
> > La blonde regarde François et lui demande : 'Penses-tu qu'il sautera?'
> > François dit : 'Je te parie qu'il va sauter'.
> > La blonde répond : 'Ben moi je parie que non'
> > François place un billet sur le bar et dit : 'C'est un pari'
> > Juste au moment où la blonde met son argent sur le bar, l'homme en question fait un plongeon et se tue.
> > La blonde est très affectée mais tend le billet à François en lui disant :
> > 'Un pari est un pari. Voici ton argent'
> > François avoue donc : 'Je ne peux pas prendre ton argent. J'avais vu les nouvelles de 18h00 et je savais qu'il plongerait'.
> > La blonde répond : 'Je les avais vues moi aussi mais je ne pensais pas qu'il recommencerait'.

>

Il était une fois un homme qui travaillait au Bureau de poste.
Son travail consistait à traiter le courrier qui était mal adressé ou
dont les adresses étaient inexistantes.
Un jour, il eut à traiter une lettre adressée d'une main tremblante à
Dieu.
Comme il ne pouvait pas la traiter, il pensa trouver une adresse de
retour à l'intérieur.
Il l'ouvrit et lut :

Cher Dieu,
Je suis une vieille veuve de 93 ans, qui vit sur une très petite
pension.
Hier quelqu'un m 'a volé ma sacoche.
Il y avait 100 euros à l'intérieur, c'était le seul argent qui me
restait jusqu'à mon prochain chèque de pension.
Dimanche prochain, ce sera Noël, et j'avais invité deux de mes vieux amis à souper.
Sans argent, je suis maintenant incapable d'acheter de la nourriturepour les recevoir.
Je n'ai pas de famille qui puisse m'aider, vous êtes maintenant mon seul
espoir.
S'il vous plait pourriez- vous me venir en aide?
Sincèrement.

Edna
66, rue Jean-Talon apt 2,
48310 Villois

Le travailleur postal fut très touché.
Il montra la lettre à tous ses confrères du bureau de Poste.
Chacun d'entre eux mit la main à sa poche et donna quelques euros.
Après avoir fait la tournée du bureau, il avait amassé 96 euros.
Fier de son coup, il en mit le contenu dans une enveloppe et la fit
livrer à l'adresse de la vieille dame.
Pour le reste de la journée, tous les employés ressentaient un bien être
intérieur d'avoir contribué à un beau geste de générosité.
Noël vint à passer et quelques jours plus tard, une autre lettre
apparut, adressée à Dieu, encore écrite par la vieille.
Tous les employés s'attroupèrent autour du bureau de l'homme alors qu'il ouvrait la lettre.
Il était écrit:

Cher Dieu,
Comment pourrais-je vous remercier pour tout ce que vous avez fait pour moi ?
Grâce à votre geste de générosité et d'amour j'ai pu recevoir dignement
mes deux amis en leur préparant un magnifique repas de Noël.
Ce fut une très belle journée et j'ai avoué à mes amis que si la chose a
été rendue possible, c'est grâce à vous et au beau cadeau que vous m'avez fait.

Au fait, il manquait 4 euros sur le montant.
J'ai bien peur que cela ait été volé par ces sales cons d'employés
malhonnêtes du Bureau de Poste.

mouarf

A cet heure ci, la pauvre mémé doit plus avoir de mains pour écrire à dieu

C'est un grand chasseur, peut-être même le plus grand du monde. Il a parcouru la terre entière, fait d'innombrables safaris et tué un nombre faramineux d'animaux exotiques. Sa salle des trophées, large comme un hall de gare, est ornée du sol au plafond de têtes empaillées et autres défenses d'ivoire. Son problème c'est que toutes les espèces connues y sont déjà représentées. Ce qu'il lui faut maintenant c'est un trophée unique, un animal qu'aucun autre chasseur n'aura jamais dans sa collection.

C'est alors qu'il découvre, à la télé, un reportage sur le mythique yéti : un sherpa Népalais aurait ramené des cimes enneigées une touffe de poils et quelques moulages de traces considérés comme authentiques par la communauté scientifique. Son sang ne fait qu'un tour : il se débrouille pour obtenir l'adresse du sherpa et saute dans le premier avion à destination de Kathmandou.

Quelques jours après, le voilà sur les traces de l'abominable homme des neiges. Mais le sherpa, apeuré, refuse de s'aventurer plus loin avec lui et l'abandonne avec arme et bagages. Qu'à cela ne tienne : notre intrépide chasseur continuera seul. Armé de son fidèle fusil à lunette il est prêt à traquer la bête jusqu'au bout.

Soudain, du coin de l'oeil, il aperçoit un mouvement entre deux rochers. Il empoigne aussitôt son fusil et, sans même prendre le temps de viser, vide instinctivement son chargeur en direction de la cible furtive. D'un bond, il s'élance vers les rochers, les contourne au pas de charge et... Rien ! Pas la moindre bestiole baignant dans son sang.

Intrigué, notre chasseur se gratte la tête tout en reculant lentement dans la neige. C'est alors qu'il sent une lourde patte se poser sur son épaule. Le sang se glace dans ses veines tandis qu'il se retourne avec appréhension pour faire face à...
un gigantesque yéti, de près de 3 mètres, qui le toise de toute sa hauteur !

- Tu as essayé de me tuer, tu m'as raté et maintenant c'est moi qui vais te bouffer tout cru.

- Pitié grand yéti, s'exclame le chasseur en sanglotant, vous êtes une créature intelligente, vous savez même parler. Vous voyez bien que je ne suis qu'un tout petit homme, plutôt maigrichon et trop vieux pour faire de la viande tendre. Laissez-moi la vie sauve, je vous en supplie !

Le yéti réfléchit un instant, puis :

- D'accord, je vais te faire une proposition. Il se trouve que ça fait des mois que je n'ai pas vu une seule abominable femme des neiges dans la région. Ce n'est pas que j'ai un tempérament zoophile mais, bon, quand on n'a pas le choix... Alors voilà : tu baisses ta culotte, tu te retournes, tu t'appuies au rocher, relax, et tu pense à autre chose. J'essaierai de ne pas te faire trop mal.

Terrorisé, le chasseur réalise qu'il n'a pas le choix : c'est la tchounga (copyright Bulldozer ) ou la mort. Il ne lui reste plus qu'à s'exécuter, la mort dans l'âme.

Quelques jours plus tard notre homme rentre chez lui, les jambes un peu plus arquées qu'au départ. Bien sûr, il ne souffle mot à personne de son aventure.

Les mois passent, l'automne, puis l'hiver. Et, tout ce temps, il rumine sa mésaventure. Puis le printemps revient et, avec lui, la saison de la chasse au gros. Le grand chasseur se dit alors qu'il ne peut rester sur un tel échec. Il se rend chez son armurier favori et lui achète un bazooka. Trois jours plus tard le revoilà dans l'Himalaya, sur la piste du yéti.

Au terme d'un long trek dans les neiges éternelles, notre homme arrive en vue des deux rochers familiers. Et ça ne rate pas : après quelques heures d'embuscade il aperçoit le monstre qui se profile juste derrière la rocaille. Il épaule son bazooka et appuie sur la détente. L'explosion volatilise une bonne partie de la roche. Il se précipite vers sa cible et...
Rien. Nada. Que t'chi !

C'est alors qu'une patte velue se pose sur son épaule :

- Encore raté. Tu connais le tarif ? Allez, baisse ta culotte...

Après cette épreuve douloureuse le chasseur s'en revient chez lui, meurtri dans sa chair comme dans son âme. Une année s'écoule, jusqu'à la prochaine saison de chasse. Mais maintenant c'est devenu une affaire personnelle. Il ne s'agit plus d'empailler un nouveau trophée, mais de venger sa fierté bafouée ! En fouinant un peu sur le net, il parvient à dégoter un lance-missile à guidée laser. Après avoir passé quelques jours à déchiffrer le manuel (en russe) de l'engin, il reprend le chemin de Kathmandou.

Le revoilà maintenant devant ces maudits rochers, explosés par son dernier coup de bazooka. Il règle le détecteur thermique du missile sur 37,5° (avec le thermomètre de la bête DEUX FOIS dans le cul, il a pu en estimer précisément la température !) et se met en embuscade.

Cette fois il a de la veine : à peine dix minutes plus tard, une silhouette massive se profile derrière les rochers. Notre chasseur appuie sur la détente. Dans un panache de flammes, le missile jaillit à vitesse supersonique : Swiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiich.......... KA-BOUM ! Des rochers il ne reste absolument rien. La neige est vitrifiée sur un rayon de 200 mètres. Aucune forme de vie n'aurait pu résister à une telle déflagration. Confiant, le chasseur se lève et commence à avancer vers la zone d'impact.

Soudain... une patte velue, sur son épaule... Et cette voix qui s'élève, railleuse, derrière son dos :

- Dis-moi... tu ne serais pas un peu pédé, toi ?

trop bon

Thierry en grande forme

Un papy promène son petit fils âgé de 7 ans en ville lorsqu'ils croisent sur le trottoir deux chiens teckels mâles, visiblement fort excités et peu soucieux du sexe de leur partenaire en train de se grimper dessus.

"Papy, qu'est ce qui font les p'tits chiens ?"
Papy un peu gêné : "euh, hmm, bien le p'tit chien a les deux pattes avant cassées et son copain l'aide à rentrer chez lui..."
"Ah bon, et c'est pour le remercier qu'il l'encule ?"

Arf, la vie des bêtes, quelle aventure !

Pas mal

au risque de me répéter;