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Message par psyduck Sam 25 Mar 2006 - 2:27

http://www.sciencedaily.com/upi/?feed=TopNews&article=UPI-1-20051020-09330000-bc-us-frozen.xml

http://planenews.com/modules.php?name=News&file=article&sid=3179

http://starbulletin.com/2004/12/14/news/story4.html
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Message par psyduck Dim 26 Mar 2006 - 1:30

http://www.almaleh.com/codex.htm

http://www.almaleh.com/se-auteurs.htm
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Message par psyduck Mar 28 Mar 2006 - 2:48

La Minute blonde:

http://msn.dvdrama.com/fiche.php?6192&mode=test&ouzesuis=2


Laughing
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Message par psyduck Mer 29 Mar 2006 - 1:02

un peu d'art:

http://www.esterhazymarcell.com/hlm.html

" H.L.M. v. 1..5
2004, installation
120 x 120 cm, béton, guirlandes, projection

Installation vidéo H.L.M. est composée en deux parties. L'une est une maquette en béton. J'ai utilisé des polystyrènes d'emballage (pour des objets à usage domestique et pour des éléments électriques) que j'ai rempli de béton. La maquette est l'agencement des négatifs de ces polystyrènes. Les différents moulages n'ont pas forcement les mêmes proportions mais ils s'assemblent de manière homogène.
La maquette est posée sur une base de béton 120 x 120 cm, et agencée grâce à des principes d'urbanisme. A chaque recomposition, la maquette prend une forme différente, ainsi le moulage qui s'apparentait à une maison pourra la prochaine fois être une usine...
Il y a 30 petites ampoules qui donnent l'éclairage sur la "ville". Elles sortent de la base en béton et s'érigent à environ
1 cm de celle-ci.
L'autre partie de l'installation est un dvd-loop en projection sur la maquette. Le dvd montre la façade d'un immeuble à Marseille. Tous les mouvements de l'image sont obtenus par manipulations digitales. Les balcons s'échangent, disparaissent, dans une logique de rangement... Cela fait appel à tous ses problèmes sociaux, tous ses changements et ses évolutions d'une ville. "



il y a longtemps j'ai pensé faire une maquette au 1/75 d'un bunker de la cote normande en vrais béton en le coullant dans un coffrage en bois comme a l'époque... sympa le presse papier. Cool
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Message par psyduck Jeu 30 Mar 2006 - 1:33

http://www.dauphinlibre.be/cachalot.htm

informations . . . le canneton enchainé Cachalot5
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Message par Adamas Jeu 30 Mar 2006 - 1:54

magnifique et tres interessant , merci coin coin Wink
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Message par psyduck Sam 1 Avr 2006 - 23:59

http://boycottez.free.fr/article.php3?id_article=28


"Ce site est réalisé sur un vieil ordinateur déjà âgé de 7 ans, plusieurs fois modifié grâce à des pièces de récupération. Il est aujourd'hui équipé d'un pentium II et possède 128 Mo de RAM, le tout pour un disque dur de 3 GIGA : le paléolithique de l'informatique ! Pourtant, aucun plantage majeur à signaler depuis sept ans... "

lol Laughing
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Message par psyduck Dim 2 Avr 2006 - 0:01

le parti communiste chinois vu par un fasciste:

:mouarf: http://www.wnblog.org/skorzeny/534/

:bob:
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Message par psyduck Dim 2 Avr 2006 - 0:56

nouvelle tronconneuse pour psychopathes ecolos:

informations . . . le canneton enchainé Chainsaw
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Message par Adamas Dim 2 Avr 2006 - 1:06

sa doit faire mal lol!
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Message par psyduck Lun 3 Avr 2006 - 23:53

GROS BASTON:

http://videosift.com/story.php?id=846
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Message par psyduck Mar 4 Avr 2006 - 0:12

Tres Tres Mauvais Trip

--------------------------------------------------------------------------------

http://www.heresie.com/tombe.htm



Un autre témoignage qui fut à l'origine de nombreuses nouvelles de la part des maîtres du fantastique et de l'horreur, il parut en 1824 à Londres dans une revue scientifique :


A la suite de fatigues longtemps soutenues, je fus atteint d'une fièvre nerveuse qui épuisa rapidement le reste de mes forces. Chose étrange ! Il me semblait que la vie, qui abandonnait peu à peu mon corps, se réfugiait toute entière dans mes facultés morales. Réduit au dernier degré de l'atonie physique, jamais je n'avais éprouvé plus de force ou même d'exaltation morale. Le moment de la crise définitive arriva : je me sentis comme emporté dans un tourbillon lumineux au milieu duquel flottaient les figures les plus fantastiques, tandis que mon corps était agité de frissonnements convulsifs et que retentissaient à mes oreilles les éclats et les sifflements d'une affreuse tempête.

Je me cramponnai de toutes mes forces à la vie qui paraissait vouloir m'échapper, lorsque enfin mes sensations devinrent si confuses, que je m'abandonnai malgré moi à cet état qui n'était pas sans quelque douceur, et je perdis bientôt tout sentiment de l'existence. Je ne sais combien de temps je restai ainsi, quand tout à coup je me réveillai dans un calme presque exaltique : mon corps était parcouru par une foule de sensations voluptueuses et mes sens, ainsi que mon intelligence, m'étaient complètement rendus ... En ce moment le médecin, s'étant approché de mon lit, laissa échapper ces mots : "Tout est fini !" Puis il recouvrit ma figure d'un drap, et mes oreilles furent frappées par les sanglots de ma famille éplorée.

Alors je voulus parler, faire un mouvement. Je sentis avec horreur que ma langue était fixée à mon palais et que mes membres qui percevaient le contact des couvertures qui m'enveloppaient, enlacés par d'invisibles liens, se refusaient à exécuter le moindre mouvement. Dés le lendemain et durant trois jours, je restai exposé pendant que les amis de la famille venaient faire leur visite de condoléances. J'entendais et je comprenais tout ce qui se passait autour de moi et, de minute en minute, j'espérais vainement que le charme fatal qui pesait sur moi allait être brisé. Le matin du quatrième jour, je fus remis aux mains des ensevelisseurs qui me traitèrent avec la plus révoltante brutalité ; et lorsque l'un d'eux, pour me faire entrer dans une bière trop étroite, pressa de son genou ma poitrine, j'éprouvai une si cruelle torture que j'eus l'espoir un instant que la possibilité d'exprimer ma souffrance allait m'être rendue.

Il me fallut encore y renoncer. La bière fut recouverte et j'entendis bientôt le grincement des clous qui s'enfonçaient lentement dans le bois. Il me serait impossible de trouver les termes pour exprimer ce que mon âme contenait alors de terreur et désespoir.
Chaque coup de marteau vibrait douloureusement dans ma tête comme un glas funèbre m'annonçant le destin qui m'était réservé. Encore si j'avais pu crier, même sans espoir d'être entendu, si j'avais pu pousser quelques gémissements ! Mais non ! Tandis que ma poitrine et mes épaules étaient écrasées dans un espace étroit, tandis que je sentais ma tête et mes membres meurtris et déchirés par le dur contact et par les aspérités de la bière, il me fallait rester immobile et sans voix. Je n'aurais jamais cru que, sans se briser, un coeur pût être labouré par d'aussi épouvantables angoisses.

Bientôt on me souleva, on me déposa sur le char funèbre qui se mit en route et on arriva au cimetière. A ce moment, je voulus tenter un dernier effort mais ce fut toujours en vain. Je me sentis balancer au dessus de la tombe qui allait m’engourdir et tandis qu'on me descendait lentement, je distinguais le bruit que faisait le cercueil en froissant les quatre murailles de terre. Quand je fus parvenu au fond de la fosse, j'entendis la voix grave et solennelle d'un ami. Il m'adressait un tendre adieu qui parvint jusqu’à moi comme un dernier écho des bruits de la terre. Et bientôt un fracas épouvantable, qui s'éteignit peu à peu comme des roulements lointains de tonnerre, m'annonça que ma tombe venait d'être comblée.

Tout était donc fini ! J’étais pour jamais séparé des vivants. Comment ne suis je pas mort en cet instant terrible ? ...
Je ne sais combien de longues heures je restai ainsi.
J'avais espéré que mes angoisses seraient brèves et qu'une prompte asphyxie éteindrait, et mes sensations, et mon existence.

Je m’étais trompé. Je ne pouvais faire aucun mouvement, mon coeur ne battait plus, ma poitrine n'était soulevée par aucune inspiration et pourtant je vivais ! car je souffrais ! Je vivais ! Mon intelligence et ma mémoire n'avaient rien perdu de leur énergie... Cependant, mes tristes pensées furent interrompues par un bruit lointain qui, d'abord, me plongea dans une grande anxiété. Le bruit se rapprocha insensiblement et je sentis mon cercueil arraché des entrailles de la terre. On l'ouvrit et je perçus l'impression d'un froid pénétrant ; impression qui me parut pourtant délicieuse, illimitée qu'elle était par un rayon d'espérance.

On me transporta longtemps, puis on me laissa tomber lourdement sur un marbre humide et glacé. J'entendis autour de moi une multitude de voix. Des mains me palpaient en tous sens et, l'un de mes yeux ayant été ouvert par hasard, je me vis au milieu d'un amphithéâtre de dissection et entouré d'un grand nombre de jeunes gens, parmi lesquels je reconnus deux de mes anciens compagnons de plaisir.

Je ne saurais dire si, en cet instant , la terreur l'emportait en moi sur la joie. Certes ma situation était devenue moins cruelle car il pouvait se faire que les expériences auxquelles on allait me soumettre me rendissent à la vie ou du moins me donnent promptement la mort. On résolut d'abord de me soumettre à un courant électrique. L’appareil fut préparé et à la première décharge de fluide, mille éclairs jaillirent devant mes yeux et une commotion terrible ébranla tout mon être. Une seconde décharge fut plus énergique encore ; je sentis tous mes nerfs vibrer comme des cordes d'une harpe et mon corps se dresser sur son séant, les muscles contractés, les yeux ouverts et fixes.

J'aperçus en face de moi deux amis dont les traits exprimaient l'émotion de la douleur et ils demandèrent avec insistance que l'on mît fin à ces hideuses expériences. On m'étendit sur la table de marbre. Le professeur s'approcha de moi, le couteau à la main et me pratiqua une légère incision sur les téguments de la poitrine...

Au même moment, une révolution épouvantable s'opéra dans tout mon corps, je parvins à pousser un cri terrible en même temps que les assistants laissaient échapper des cris d'horreur. Les liens de la mort étaient brisés : j'étais rendu à la vie !...

John Mac Inthyre, 1824



*********************************


le site lui meme est assez fun :

http://www.heresie.com/



Les Supplices

Le Chevalet
La Crémation
Les Carcans
L'Ecartelement
Supplices Infernaux
Galeries 1-2-3-4-5
Le Pilori
Le Musée
La Roue
Supplice de la Tombe
Torture au moyen âge
La Vierge de fer
Supplices païens
Histoire des Sorciers

Lilith
La Lycanthropie
Traité de Démonialité
L'art sorcier
Le Code de Boguet
Pierre De Lancre
La danse des sorciers
Jean Bodin
Le sabbat
La messe noire
L'abbé Boullan
La société Infernale
Aleister Crowley
Les Vaudois
Dictionnaire Infernal
Sorcellerie
Etudes

La Révolution
John Dee
Le culte de Baal
L'antre de l'Ankou
Le Crime dans l'Art
Le Culte de Mithra
Le Cannibalisme
Francisco Goya
Histoire
La belle époque
Horreurs Espagnoles
Horreurs Coloniales
Tribunal de Westphalie
Voltaire - Pensées
Le Vaudou
Le sang
La Mort
Insolite

Christ Church
Cimetière d'Highgate
Le wewelsburg
Citations
Golden Dawn
Charles Fort
Joël-Peter Witkin
Le Golem
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Message par psyduck Lun 10 Avr 2006 - 1:58

http://www.pilotlist.org/bestof/resultats.php3?auteur=Collectif

" Juillet 2004

Nous avons un ministère des Transports qui est doté d’un humour rare. On nous proposerait de l’échanger contre deux barils de lessive, on refuserait.

Car c’est le ministère qui est venu nous expliquer ce matin le pourquoi du comment de l’effondrement du 2E. Accrochez-vous, c’est scientifique.

Révélation : ce n’est pas le béton qui a cédé, ce sont les butons qui ont perforé le béton qui a cédé. Faut pas confondre : le béton était nickel avant de se faire perforer par les vilains butons.

Puis il y a eu le grand malheur : comme les vilains butons ont cassé le béton, le béton est tombé. Ce que vous voyez par terre, ça ressemble à du béton cassé, mais en fait c’est du très bon béton de grande qualité, du béton irréprochable. La preuve : il y en a pour 650 millions d’euros. Il est donc inutile de le remplacer, il suffit juste de remplacer les butons, qui eux sont perforants.

L’imbécile du fond de la salle, qui demande comment le gars du ministère Shadock compte remplacer la ferraille qui est dans le béton qui n’est pas encore tombé, sans toucher au béton qui est autour, est prié de se taire.

Il ferait mieux de méditer la perle de l’année, toujours livrée par l’ingénieux du ministère :

"Quand quelque chose est une faute de calcul ordinaire cela casse tout de suite ; quand cela tient pendant deux ans, cela veut dire qu'au fond c'était fait pour tenir, mais que, soit il y a eu une augmentation d'effort, soit il y a eu une diminution de résistance du matériau."

Traduction en langage clair, par les experts de RadioCo : le monsieur du ministère vous explique que si ça tombe tout de suite, c’est que c’est mal fait. Si ça tombe plus tard, c’est que c’est un peu mieux fait que si c’était mal fait, voire même que ça aurait pu tenir si ce n’était pas tombé.

À partir de là, deux hypothèses : soit c’est tombé parce que ça n’a pas tenu, soit on peut penser que puisque ça n’a pas tenu, ça a fini par tomber.

En fait, tout vient des matériaux : les "calculs ordinaires" montrent que plus c’est mou, et moins c’est dur, et que si c’est dur, c’est que c’est beaucoup moins mou que si c’était mou. Et si tu tires dessus, ça finit toujours par péter, mais plus ou moins tard, selon que c’est plus ou moins mou. " :gram: :bob:
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Message par psyduck Mer 12 Avr 2006 - 2:08

http://www.onnouscachetout.com/forum/index.php?showtopic=9196


http://www.continuum-concept.org/index.html


http://www.continuum-concept.org/cc_defined.html

le site est en anglais.

J'ai trouvé un petit résumé en francais.


"The continuum concept" est un livre ecrit par Jean Liedloff en 1975, apres
avoir visite la tribue des Yequana en Amazonie. Elle a ete frappee par les
differences entre leur facon de prendre soin de leur bebes et enfants ,et la
pratique occidentale d'education .
Elle en ai venu a creer ce concept , explicant qu'a la naissance les bebes
esperent et demandent certains type de comportement de la part des adultes
afin de satisfaire leurs besoins et de reproduire le continuum. Elle fait
la comparaison par exemple avec l'esperance du nez et des poumons de
recevoir l'air , ou du tube digestif de recevoir le lait ( genetiquement
demande). Ces esperances (expectations) sont par exemple d'etre nourris au
sein , d'etre porte constament par sa mere (et dormir avec) ou
occasionellement par d'autre
adultes durant la 1ere annee ( jamais separe et laisse a lui meme), ou
d'etre expose a l'activitee des adultes ou ils aprennent qu'est ce que la
vie leur reserve ( different du principe de l'ecole) etc...
les Yequanas n'eduquent pas leur enfants car ils sont eux memes totallement
confidents dans ce qu'il font, qu'ils ne doutent pas un moment que leurs
enfants veulent les imiter et donc poursuivre le continuum de leur societe.
Les adultes sont tellement adultes qu'ils ne sont pas centres sur les
enfants (child centeredness ) ils ont leur focus diriges vers leurs
activitees d'adultes et pourtant repondent instantannement aux besoins de
leur enfants ,qui par consequent sont beaucoup moins demandant. que nos
enfants.







The Continuum Concept



Ecrit par Jean Liedloff, The Continuum concept est un ouvrage clé, fondamental, hélas encore indisponible en français, malgré des traductions dans de nombreuses langues, et un succès qui dure depuis près de 25 ans. L'auteur démontre de façon magistrale comment la façon dont nous faisons naître les enfants, dans la culture occidentale, en brisant le "principe de continuité" qui unit la mère et l'enfant dès la naissance, inscrit une peur de la vie fondamentale dans l'enfant, dont les répercussions se feront sentir toute sa vie. Dans les cultures où la naissance et les premiers mois de la vie se passent autrement, l'évolution psychologique des enfants ne suit absolument pas les clichés que notre psychologie occidentale a cru universels. A traduire absolument, à lire en anglais si l'on peut. L'auteur a un site Internet : www.continuum-concept.org, et une liste de discussion Internet qui permet à des femmes du monde entier de partager leurs expériences "maternelles", en suivant les propositions de l'auteur. (Olivier Clerc, journaliste, auteur, et éditeur)

Extrait en français du livre "The continuum concept" de Jean Liedloff, 1977
Source : http://echarpes.ouvaton.org dans les suggestions de lectures

"Dans les cliniques d'accouchement du monde occidental, il n'y a guère d'espoir de se faire consoler par les louves. Le nouveau-né qui réclame par tous les pores de sa peau le contact originel avec un corps doux et mou qui irradie la chaleur est enveloppé dans un lange sans vie. Il peut crier aussi fort qu'il veut, on le met dans une boîte où il est abandonné à un vide torturant et où il n'y a aucun mouvement (pour la première fois depuis l'origine de son existence physique , depuis des millions d'années de son évolution ou de sa félicité éternelle dans l'utérus). Le seul bruit qu'il puisse percevoir, ce sont les hurlements d'autres victimes qui souffrent les mêmes indicibles tortures infernales. Ce bruit ne peut rien signifier pou lui. Il hurle et hurle tant qu'il peut ; ses poumons qui ne sont pas habitués à l'air s'épuisent sous le poids de ce cour désespéré. Personne ne vient.

Comme de par sa nature il croit que la vie est juste, il fait la seule chose qu'il puise faire : il continue de hurler. A la fin, il s'endort, à bout de forces - toute une vie plus tard, hors du temps. Il s'éveille dans l'angoisse inconsciente du silence, de l'immobilité. Il pleure. Il brûle de besoin de la tête aux pieds, de désir, d'impatience insupportable. Il ouvre la bouche pour respirer et hurle, jusqu'à ce que le bruit remplisse son crâne, qu'il soit prêt à éclater. Il crie jusqu'à ce que la poitrine lui fasse mal, que sa gorge soit en feu.

Il ne peut plus supporter la douleur ; ses sanglots s'affaiblissent puis s'arrêtent. Il écoute. Il ouvre et ferme les poings. Il tourne la tête d'un côté puis de l'autre. Rien n'y fait. C'est insupportable. Il recommence à hurler, mais sa gorge est trop fatiguée ; bientôt il s'arrête à nouveau. Il raidit son petit corps torturé de dé&sir et il perçoit un soupçon de soulagement. Il remue les mains et gigote. Il s'arrête, capable de souffrir, mais incapable de penser, incapable d'espérer. Il écoute. Puis il se rendort. Brusquement on le soulève ; l'attente de ce à quoi il devrait avoir droit se manifeste à nouveau. On enlève le lange mouillé. Soulagement. Des mains vivantes touchent sa peau. On le soulève par les pieds et on remet entre ses cuisses un autre morceau d'étoffe sec comme du caillou et inerte. Immédiatement, c'est encore comme s'il n'y avait jamais eu ces mains, ni le lange mouillé. Il n'y a pas de souvenir conscient, pas trace d'espoir. Le bébé se trouve dans un vide insupportable, hors du temps, dans l'immobilité et le silence, plein de désir infini et inassouvi. Son continuum essaie les mesures de sécurité, mais elles sont toutes uniquement propres à pallier de petites défaillances dans un traitement par ailleurs adéquat, ou bien demander un soulagement à quelqu'un dont on présume qu'il l'apportera. Pour le cas extrême qui se présente, le continuum n'a pas de solution. La situation dépasse son expérience pourtant immense. Depuis quelques heures à peine qu'il respire, le bébé a déjà atteint par rapport à sa nature un degré d'aliénation dont même son puissant système de sécurité ne peut plus le sauver. Le séjour dans la matrice maternelle a été selon toute vraisemblance le dernier dans cette atmosphère de bien-être ininterrompu où, selon l'attente qui lui est innée, il aurait dû passer toute sa vie. Toute sa nature se fonde sur l'idée que la mère se comporte de façon adéquate et que les motivations et les actes qui en résultent d'une part comme de l'autre seront tout naturellement dans un rapport de réciprocité qui les servira l'un comme l'autre. Quelqu'un vient et le soulève délicatement. Le bébé s'anime. On le prend certes trop timidement à son goût ; mais au moins il y a du mouvement. maintenant il se sent à la bonne place.

Toute l'angoisse mortelle qu'il vient de traverser n'existe plus. Il est couché dans des bras qui l'entourent ; et bien que sa peau ne retire aucune impression de douceur du contact avec l'étoffe, rie qui annonce la proximité d'une chair vivante, les mains et la bouche lui disent que tout est normal. La joie de vivre, qui est l'état normal du continuum est presque parfaite. Il y a le goût et la structure du sein, le lait chaud coule dans sa bouche avide, il y a ce battement de cour qui aurait dû être la liaison, garantir le lien avec le corps maternel, ses yeux qui y voient à peine perçoivent un mouvement. Le ton de voix aussi est bon. Il n'y a que l'étoffe et l'odeur (sa mère met de l'eau de Cologne) qui font qu'il manque quelque chose. Il tête et quand il se sent rose et repu, il tombe dans la somnolence. Au réveil, il est de nouveau dans l'enfer. Pas de souvenir, pas d'espoir, pas de pensée qui puisse lui rappeler dans le dessert de son purgatoire le réconfort de la visite auprès de sa mère. des heures passent, et des nuits, et des jours. Il pleure, il se fatigue, il s'endort. Il s'éveille et mouille ses couches. Maintenant il n'en éprouve plus aucun bien-être. A peine ses organes internes lui ont-ils communiqué le plaisir du soulagement que celui-ci est à nouveau supplanté par une douleur croissante quand l'urine chaude et acide attaque son corps déjà irrité. Il hurle. Ses poumons épuisés ont besoin de hurler pour couvrir cette brûlure aiguë. Il hurle jusqu'à ce que la douleur et les hurlements l'épuisent, avant qu'il s'endorme à nouveau. dans sa clinique qui ne constitue en rien une exception, les infirmières qui ont beaucoup de travail changent les langes à heures fixes qu'ils soient encore secs, humides ou complètement trempés ; et les enfants ont le corps tout irrité quand elles les renvoient à la maison où il y aura quelqu'un qui aura le temps de faire ce genre de choses et qui les guérira. Lorsqu'on l'emmène à la maison de sa mère (on ne peut guère dire que ce soit chez lui), il est déjà tout à fait au courant de la nature de l'existence. A un niveau préconscient qui déterminera toutes ses impressions ultérieures de la même manière qu'il sera réciproquement marqué par elles, il sait que la vie est indiciblement solitaire, sans réaction à aucun des signaux qu'il peut émettre et pleine de souffrance. Mais il n'y a pas encore renoncé. tant qu'il y aura de la vie en lui, les forces de son continuum essaieront toujours de retrouver leur équilibre. la maison ne se différencie guère de la clinique d'accouchement, si ce n'est pour l'irritation de la peau. les heures où il est éveillé, l'enfant les passe dans la nostalgie, le désir et l'inlassable attente de l'état « adéquat » qui selon le continuum devrait remplacer le vide et le silence. Pendant quelques minutes par jour son désir est satisfait et ce besoin de contact, ce besoin qu'on le porte et qu'on le promène, ce besoin effroyable qui le démange constamment est comblé. Sa mère fait partie de celles qui, après bien des élucubration, se sont décidés à autoriser à l'enfant l'accès à leur sein. Elle aime d'une tendresse encore jamais connu. Au début, elle a de la peine à le recoucher après la tétée, surtout parce qu'il hurle si désespérément. Mais elle est persuadée de devoir le faire car sa propre mère lui a dit (et elle est bien placée pour le savoir) que plus tard il serait mal éduqué et lui ferait des difficultés si elle lui cédait maintenant. Elle veut tout faire comme il faut ; et pendant un instant elle sent que la petite vue qu'elle tient dans ses bras importe plus que tout au monde. Elle soupire et le repose tout doucement dans son berceau capitonné de tissu avec des petits canards jaunes, assorties à toute la pièce.

Elle s'est donnée beaucoup de mal pour mettre des rideaux en coton, un tapis en forme de panda géant, une table de toilette blanche, une baignoire et une table à langer. Il fallait aussi du talc, du savon, de la crème, du shampooing et une brosse à cheveux - le tout dans des tons de bébé. Au mur, il y a des images de bébés animaux habillés en hommes. La commode est pleine de petites chemises, de barboteuses, de petits chaussons, de petits bonnets, de gants et de langes. Dans l'angle sur le dessus il y a un mouton en laine et un vase de fleurs - des fleurs que l'on a coupées, parce que la maman « aime » aussi les fleurs. Elle tire sur les bords de la petite brassière et couvre le bébé d'un drap brodé et d'une couverture qui porte ses initiales. Elle la regarde avec une certaine satisfaction. On n'a rien négligé pour que l'aménagement de la chambre du bébé soit parfait, même si par ailleurs le jeune couple ne peut pas encore s'acheter tous les meubles qui sont prévus pour les autres pièces. Elle se penche sur l'enfant et dépose un baiser sur cette joue soyeuse ; puis elle se dirige vers la porte alors que le premier hurlement de torture lui transperce le corps. Elle ferme tout doucement la porte. Elle lui a déclaré la guerre. Il faut que sa volonté l'emporte. A travers la porte elle entend des cris, comme si l'on torturait quelqu'un. Son continuum les identifie en tant que tels. La nature ne donne pas de signe sans équivoque voulant dire que l'on torture quelqu'un quand ce n'est pas vraiment le cas. Elle hésite. Son cour se sent attiré vers lui, mais elle résiste et s'en va. Elle vient juste de le changer et de lui donner à téter. Elle est donc sûre qu'en réalité il ne lui manque rien, et elle laisse pleurer jusqu'à épuisement. Il s'éveille et se remet à hurler. Sa mère jette furtivement un coup d'oil par la porte pour s'assurer qu'il est couché comme il faut : tout doucement encore, pour que l'attention qu'elle lui manifeste n'éveille pas de faux espoir, elle referme la porte. Elle se précipite dans la cuisine pour faire son travail, elle laisse la porte de la cuisine ouverte pour entendre le bébé « si jamais il lui arrivait quelque chose ». Les hurlements de bébé se changent en plaintes chevrotantes. Comme personne ne répond, le mécanisme qui active ses signaux se perd dans la confusion du vide sans vie, alors que le réconfort aurait dû venir depuis longtemps. Il regarde autour de lui. Au-delà des barreaux immobiles et le mur. Il perçoit des bruits qui n'ont aucun sens, provenant d'un monde lointain. Près de lui, tut est calme. Il regarde le mur, jusqu'à ce que ses yeux se ferment. Lorsqu'il les rouvre, plus tard, les barreaux et le mur sont toujours exactement pareils, mais la lumière est encore plus triste."

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Message par psyduck Ven 14 Avr 2006 - 1:37

http://www.autodrome-cannes.com/turbinecar2.htm

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Message par psyduck Lun 24 Avr 2006 - 12:27

tiens, on peut etre conseiller municipal tout en étant mort...


http://www.ville-la-turbie.fr/v2/view_rubrique.php?id_rub=1102683830
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Message par RTA_Redfox Lun 24 Avr 2006 - 12:56

T 'en a bien qui les font voter Laughing
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Message par psyduck Sam 10 Juin 2006 - 2:30

http://bravepatrie.com/Les-BAC-soignent-leur-image


http://www.brigadeclowns.org/index.php?title=Accueil

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lol!
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Message par psyduck Mer 28 Juin 2006 - 1:51

nostalgie: une bd americaine de propagande de l'époque de la guerre froide.


http://www.authentichistory.com/images/1960s/treasure_chest/v17_02_03.html



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Message par Invité Mer 28 Juin 2006 - 8:03

LOL ! c'est une BD qui date de McCarthy ou quoi ?

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Message par RTA_Oscarbob Mer 28 Juin 2006 - 11:14

MDR !!!!!
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Message par psyduck Mer 28 Juin 2006 - 12:25

même en mettant le côté propagande a part, c'est vachement bien fait au niveau historique.
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