Bataille au dessus des Fjords.
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JG300_Vylsain
615sqn_Emile
RTA_Wolfeye
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Bataille au dessus des Fjords.
Base d’Herdla, Norvège.
Dans la brume des fjords, quatre pilotes s’avancent. Leurs montures les attendent, mais ces quatre gaillards blonds ne les fixent pas, discutant à propos du briefing qui vient de se terminer. Les postures sont nerveuses, les traits tirés par la concentration, et quelques heures de sommeil en moins. Il faut dire que la situation de leur pays n’est pas particulièrement réjouissante : la Kriesgmarine s’est réfugiée au sein de la baie plus au nord de la base. Bien que neutre, la Norvège ne peut rester indifférente à cette occupation, mais ses moyens sont bien maigres... La puissante Royal Navy n’entend cependant pas laisser passer une telle occasion, et a monté une opération pour couler tout ce beau monde. Mais ce ne sera pas le boulot de nos quatre pilotes. Eux doivent se contenter de couvrir les bombardiers et torpilleurs et éviter ainsi d’entamer trop les réserves d’appareils de Sa Majesté.
Les quatres Hawk s’alignent sur la piste. 4 est nerveux. A peine quelques heures d’entrainement, et pourtant il va devoir affronter la meilleure armée aérienne d’Europe : les gars d’en face ne feront pas de cadeaux...
Les hélices commencent à tourner lentement, brassant l’air frais du matin, avant que ne retentissent les pétaradements des quatre moteurs. Quelques réglages du moulin, la checklist faite, le leader s’élance. Les appareils ne tardent guère à quitter le sol. 4 rentrent nerveusement son train et ses volets, et se joint à son propre leader,3. Deux paires en formation large se forment, et le cap de rendez vous avec la flotte anglaise est pris. Accroché à leur hélice tripales, les appareils grimpent.
Arrivé dans la baie, les premiers flocons noirs commencent à perler. Surprise, incompréhension, incertitude. La Navy ne savait elle pas reconnaitre ses alliés ? Principe de précaution ? Ou bien erreur humaine, d’un côté comme de l’autre ? La tension s’accroit dans les cockpits... On élargit la formation, Leader décide de s’écarter. Les éclats de 88 se resserrent, font tressauter les carcasses. 4 encaisse un impact semble-t-il anodin. Le moulin tourne, les commandes répondent, il continue. La baie est quasiment derrière lui lorsque 3 remarque une trainée noire sous l’appareil de son ailier : l’impact n’était donc pas si anodin...Un peu déçu, l’appareil rentre. Pourtant, il se sent soulagé : peut être verra-t-il le coucher du soleil ce soir !
Quelques minutes plus tard, finale sur la base, puis poser des roues en douceur : le Hawk reste docile jusqu’à l’arrêt au parking, après un court roulage. A peine le moteur cesse-t-il de pétarader que les mécaniciens accourent. 4 ouvre nerveusement la verrière, descend et inspecte en leur compagnie le capot moteur et le radiateur : rien de bien méchant et on affirme au pilote qu’il pourra repartir très rapidement. Une étau d’angoisse étreint le cœur du pilote alors qu’il se réinstalle dans son cockpit et se sangle : il allait y retourner...non, il devait y retourner. Pour patienter, il remet ses écouteurs relativement silencieux.
De longues secondes s’écoulent où il ne perçoit que le vacarme des mécaniciens s’affairant sur son moulin, puis c’est une telle explosion sonore qu’il doit écarter les écouteurs de ses oreilles, les tympans quasiment vrillés. Ses camarades sont engagés par les 110 non loin de l’emplacement des navires allemands ! Les phrases sont sèches, nerveuses, puis emplies de peur ! Deux cris s’élèvent brusquement avant d’être coupés, 4 craint le pire, malheureusement confirmé par le dernier Hawk en vol : Leader et son ailier se sont percutés et ne rentreront pas... et 3 reste,envers et contre tous.
Les mécanos s’éloignent alors, et on crie au pilote qu’il peut redécoller. Toute peur ayant disparu, la volonté de voir rentrer son seul camarade pilote vivant et les injonctions de 3 le font réagir rapidement : il rédecolle et prend un cap d’interception avec le survivant, montant au dessus des nuages pour ne pas se laisser surprendre, scrutant chaque parcelle du sol pour ne pas louper son leader qui rentre à basse altitude, pourchassé par deux 110. 4 bat nerveusement des ailes, se tord le cou pour apercevoir 3, mais il n’aperçoit qu’une demi carcasse de 110 qui tombe lentement vers le sol...la recherche continue.
3 use de tous les artifices possibles pour semer ses poursuivants, réussissant à faire feu et faire fumer un des 110, mais ce n’est hélas pas suffisant... 4 le sent, et il panique de n’apercevoir ne serait ce qu’une traçante !
La nouvelle tombe : d’une voix presque résignée, 3 annonce que son appareil tombe... il annonce qu’il saute... 4 sait que l’altitude ne sera pas suffisante...Il est le dernier. Seul, à 3000 m. Sans savoir quoi faire. Rentrer ? Il y pense... à quoi bon lutter s’il se retrouve seul contre tous...Il prend lentement un cap pour rentrer...
Trois heures bas. De longues traçantes rouges convergeant vers un même point. 4 hésite. Puis descend de 500m, pour mieux comprendre la situation.
Les traçantes convergent toujours. Vers un biplan... Le Swordfish n’a aucune chance. 4 n’en a pas beaucoup plus. Mais il plonge. Trop tard hélas... le torpilleur tombe en flamme quelques instants plus tard, mais le pilote norvégien est en bonne position pour arroser le bimoteur allemand.Le mitrailleur arrière se déchaine, sans grand succès. Le Hawk tremble quand ses six mitrailleuses font feu. Les impacts se creusent dans la caracasse vertes, mais c’est le manque de vitesse qui perd le 110 : une barrique trop brusque, la vrille...un de moins.
Ne pas se déconcentrer, car déjà les traçantes l’entourent. Il faut dégager... Et 4 n’a pas qu’un seul poursuivant. Son appareil encaisse quelques impacts sans gravité, et il entame quelques manœuvres évasives. Plus pataud, le bimoteur a du mal à suivre et 4 parvient à se dégager, et même se remettre en position de tir ! L’excitation le gagne, et il suit le 110 qui tente de s’échapper. L’aligner prend plus de temps, mais le mitrailleur ne semble pas réagir... le pilote norvégien en profite pour se rapprocher.
Pensant être à bonne distance, il ouvre le feu. Ses balles parcourent rapidement la distance jusqu’à sa proie, l’entourent, puis le transpercent... sans pourtant trouver le cœur de ce monstre d’acier ! 4 garde son calme mais sa frustration augmente alors que ses deux mitrailleuses lourdes se taisent... Les projectiles de 7.7 semblent n’avoir que peu d’effet...pourtant.... le moteur droit du bimoteur émet une légère fumée...puis c’est un long filet vert qui s’étire de son aile...est ce que...
Non. Dans un dégagement rapide vers le relief, 4 est un peu déçu : ce 110 là a de bonnes chances de rentrer chez lui ce soir. Mais par dessus tout, alors qu’il prend le cap de la base, et que l’adrénaline redescend, la fatigue mêlée au soulagement le gagne : lui aussi rentre vivant, avec en tout et pour tout quelques trous dans la carlingue ! Et la vision de la base le fait sourire, alors qu’il la rejoint pas le trajet le plus court. Les mains tremblent, les minutes écoulées ont été éprouvantes, mais il faut se reconcentrer pour ne pas se vautrer à atterrissage.
BLAM. BLAM. Une douleur à la cuisse. 4 dégage comme il peut alors que la tâche sur sa tenue de pilote s’élargit rapidement. Le 110 s’est-il idéalement placé ? Le pilote norvégien dans son excitation n’a t il pas fait attention autour de lui ? Sans doute un peu des deux...Mais 4 sait qu’il ne peut plus rivaliser sans armement, et sa vue se brouille lentement... La base... Il doit la rejoindre et espérer que la DCA fera son boulot...
BLAM. BLAM. CRAAAC. La tôle hurle en se détachant. L’aile gauche s’éparpillent dans le ciel, et le Hawk commence à piquer lentement.
Rouge. La tache sur son ventre est tellement rouge....4 n’a plus la force d’ouvrir la verrière...et il sait qu’il est trop bas... Lui non plus ne rentrera pas...
Rouge...puis la chaleur...intense....Enfin le noir. Et puis plus rien.
Dans la brume des fjords, quatre pilotes s’avancent. Leurs montures les attendent, mais ces quatre gaillards blonds ne les fixent pas, discutant à propos du briefing qui vient de se terminer. Les postures sont nerveuses, les traits tirés par la concentration, et quelques heures de sommeil en moins. Il faut dire que la situation de leur pays n’est pas particulièrement réjouissante : la Kriesgmarine s’est réfugiée au sein de la baie plus au nord de la base. Bien que neutre, la Norvège ne peut rester indifférente à cette occupation, mais ses moyens sont bien maigres... La puissante Royal Navy n’entend cependant pas laisser passer une telle occasion, et a monté une opération pour couler tout ce beau monde. Mais ce ne sera pas le boulot de nos quatre pilotes. Eux doivent se contenter de couvrir les bombardiers et torpilleurs et éviter ainsi d’entamer trop les réserves d’appareils de Sa Majesté.
Les quatres Hawk s’alignent sur la piste. 4 est nerveux. A peine quelques heures d’entrainement, et pourtant il va devoir affronter la meilleure armée aérienne d’Europe : les gars d’en face ne feront pas de cadeaux...
Les hélices commencent à tourner lentement, brassant l’air frais du matin, avant que ne retentissent les pétaradements des quatre moteurs. Quelques réglages du moulin, la checklist faite, le leader s’élance. Les appareils ne tardent guère à quitter le sol. 4 rentrent nerveusement son train et ses volets, et se joint à son propre leader,3. Deux paires en formation large se forment, et le cap de rendez vous avec la flotte anglaise est pris. Accroché à leur hélice tripales, les appareils grimpent.
Arrivé dans la baie, les premiers flocons noirs commencent à perler. Surprise, incompréhension, incertitude. La Navy ne savait elle pas reconnaitre ses alliés ? Principe de précaution ? Ou bien erreur humaine, d’un côté comme de l’autre ? La tension s’accroit dans les cockpits... On élargit la formation, Leader décide de s’écarter. Les éclats de 88 se resserrent, font tressauter les carcasses. 4 encaisse un impact semble-t-il anodin. Le moulin tourne, les commandes répondent, il continue. La baie est quasiment derrière lui lorsque 3 remarque une trainée noire sous l’appareil de son ailier : l’impact n’était donc pas si anodin...Un peu déçu, l’appareil rentre. Pourtant, il se sent soulagé : peut être verra-t-il le coucher du soleil ce soir !
Quelques minutes plus tard, finale sur la base, puis poser des roues en douceur : le Hawk reste docile jusqu’à l’arrêt au parking, après un court roulage. A peine le moteur cesse-t-il de pétarader que les mécaniciens accourent. 4 ouvre nerveusement la verrière, descend et inspecte en leur compagnie le capot moteur et le radiateur : rien de bien méchant et on affirme au pilote qu’il pourra repartir très rapidement. Une étau d’angoisse étreint le cœur du pilote alors qu’il se réinstalle dans son cockpit et se sangle : il allait y retourner...non, il devait y retourner. Pour patienter, il remet ses écouteurs relativement silencieux.
De longues secondes s’écoulent où il ne perçoit que le vacarme des mécaniciens s’affairant sur son moulin, puis c’est une telle explosion sonore qu’il doit écarter les écouteurs de ses oreilles, les tympans quasiment vrillés. Ses camarades sont engagés par les 110 non loin de l’emplacement des navires allemands ! Les phrases sont sèches, nerveuses, puis emplies de peur ! Deux cris s’élèvent brusquement avant d’être coupés, 4 craint le pire, malheureusement confirmé par le dernier Hawk en vol : Leader et son ailier se sont percutés et ne rentreront pas... et 3 reste,envers et contre tous.
Les mécanos s’éloignent alors, et on crie au pilote qu’il peut redécoller. Toute peur ayant disparu, la volonté de voir rentrer son seul camarade pilote vivant et les injonctions de 3 le font réagir rapidement : il rédecolle et prend un cap d’interception avec le survivant, montant au dessus des nuages pour ne pas se laisser surprendre, scrutant chaque parcelle du sol pour ne pas louper son leader qui rentre à basse altitude, pourchassé par deux 110. 4 bat nerveusement des ailes, se tord le cou pour apercevoir 3, mais il n’aperçoit qu’une demi carcasse de 110 qui tombe lentement vers le sol...la recherche continue.
3 use de tous les artifices possibles pour semer ses poursuivants, réussissant à faire feu et faire fumer un des 110, mais ce n’est hélas pas suffisant... 4 le sent, et il panique de n’apercevoir ne serait ce qu’une traçante !
La nouvelle tombe : d’une voix presque résignée, 3 annonce que son appareil tombe... il annonce qu’il saute... 4 sait que l’altitude ne sera pas suffisante...Il est le dernier. Seul, à 3000 m. Sans savoir quoi faire. Rentrer ? Il y pense... à quoi bon lutter s’il se retrouve seul contre tous...Il prend lentement un cap pour rentrer...
Trois heures bas. De longues traçantes rouges convergeant vers un même point. 4 hésite. Puis descend de 500m, pour mieux comprendre la situation.
Les traçantes convergent toujours. Vers un biplan... Le Swordfish n’a aucune chance. 4 n’en a pas beaucoup plus. Mais il plonge. Trop tard hélas... le torpilleur tombe en flamme quelques instants plus tard, mais le pilote norvégien est en bonne position pour arroser le bimoteur allemand.Le mitrailleur arrière se déchaine, sans grand succès. Le Hawk tremble quand ses six mitrailleuses font feu. Les impacts se creusent dans la caracasse vertes, mais c’est le manque de vitesse qui perd le 110 : une barrique trop brusque, la vrille...un de moins.
Ne pas se déconcentrer, car déjà les traçantes l’entourent. Il faut dégager... Et 4 n’a pas qu’un seul poursuivant. Son appareil encaisse quelques impacts sans gravité, et il entame quelques manœuvres évasives. Plus pataud, le bimoteur a du mal à suivre et 4 parvient à se dégager, et même se remettre en position de tir ! L’excitation le gagne, et il suit le 110 qui tente de s’échapper. L’aligner prend plus de temps, mais le mitrailleur ne semble pas réagir... le pilote norvégien en profite pour se rapprocher.
Pensant être à bonne distance, il ouvre le feu. Ses balles parcourent rapidement la distance jusqu’à sa proie, l’entourent, puis le transpercent... sans pourtant trouver le cœur de ce monstre d’acier ! 4 garde son calme mais sa frustration augmente alors que ses deux mitrailleuses lourdes se taisent... Les projectiles de 7.7 semblent n’avoir que peu d’effet...pourtant.... le moteur droit du bimoteur émet une légère fumée...puis c’est un long filet vert qui s’étire de son aile...est ce que...
Non. Dans un dégagement rapide vers le relief, 4 est un peu déçu : ce 110 là a de bonnes chances de rentrer chez lui ce soir. Mais par dessus tout, alors qu’il prend le cap de la base, et que l’adrénaline redescend, la fatigue mêlée au soulagement le gagne : lui aussi rentre vivant, avec en tout et pour tout quelques trous dans la carlingue ! Et la vision de la base le fait sourire, alors qu’il la rejoint pas le trajet le plus court. Les mains tremblent, les minutes écoulées ont été éprouvantes, mais il faut se reconcentrer pour ne pas se vautrer à atterrissage.
BLAM. BLAM. Une douleur à la cuisse. 4 dégage comme il peut alors que la tâche sur sa tenue de pilote s’élargit rapidement. Le 110 s’est-il idéalement placé ? Le pilote norvégien dans son excitation n’a t il pas fait attention autour de lui ? Sans doute un peu des deux...Mais 4 sait qu’il ne peut plus rivaliser sans armement, et sa vue se brouille lentement... La base... Il doit la rejoindre et espérer que la DCA fera son boulot...
BLAM. BLAM. CRAAAC. La tôle hurle en se détachant. L’aile gauche s’éparpillent dans le ciel, et le Hawk commence à piquer lentement.
Rouge. La tache sur son ventre est tellement rouge....4 n’a plus la force d’ouvrir la verrière...et il sait qu’il est trop bas... Lui non plus ne rentrera pas...
Rouge...puis la chaleur...intense....Enfin le noir. Et puis plus rien.
RTA_Wolfeye- Captain
- Nombre de messages : 681
Age : 35
Localisation : Quelque part dans le 44
Date d'inscription : 28/10/2010
Re: Bataille au dessus des Fjords.
What a story by Jove !
Merci pour la petite histoire Wolfeye, j'aurais bien aimé pouvoir rendre compte de faits d'armes aussi glorieux malgré sa fin tragique.
Merci pour la petite histoire Wolfeye, j'aurais bien aimé pouvoir rendre compte de faits d'armes aussi glorieux malgré sa fin tragique.
615sqn_Emile- Flying Officer
- Nombre de messages : 433
Localisation : Paris
Date d'inscription : 03/05/2010
JG300_Vylsain- Fähnrich
- Nombre de messages : 5900
Age : 35
Date d'inscription : 07/07/2006
Re: Bataille au dessus des Fjords.
Sympa Wolf
F/JG300_Naxos- Oberfeldwebel
- Nombre de messages : 1583
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Bataille au dessus des Fjords.
Merci beaucoup Wolf pour ton débriefing. Tu as fait un beau combat, mais nous étions deux contre toi, et Ed blessé (qui amerrira un peu plus tard, à 30 km des cotes du Danemark) je me suis retrouvé seul. J'ai senti que tu avais un peu relaché les nerfs et que tu ne surveillais pas tes 6, mais que tu cherchais la base.
La première rafale est au but, tu fumes noir et perd de l'essence.
La seconde, après un replacement, met fin à ton calvaire.
Merci d'avoir volé cette coop !
La première rafale est au but, tu fumes noir et perd de l'essence.
La seconde, après un replacement, met fin à ton calvaire.
Merci d'avoir volé cette coop !
F/JG300_Tempest- Major LW
- Nombre de messages : 10110
Age : 42
Localisation : Paris - France
Date d'inscription : 02/11/2005
Re: Bataille au dessus des Fjords.
Merci des compliments
J'ai surtout pensé qu'Ed était resté seul sur zone, vu que j'ai pu me mettre derrière lui relativement tranquillement, du coup surprise totale quand tu commences à me canarder ! Belle victoire pour toi
Merci à toi pour cette coop, et je participerais à la suite avec plaisir!
J'ai surtout pensé qu'Ed était resté seul sur zone, vu que j'ai pu me mettre derrière lui relativement tranquillement, du coup surprise totale quand tu commences à me canarder ! Belle victoire pour toi
Merci à toi pour cette coop, et je participerais à la suite avec plaisir!
RTA_Wolfeye- Captain
- Nombre de messages : 681
Age : 35
Localisation : Quelque part dans le 44
Date d'inscription : 28/10/2010
Re: Bataille au dessus des Fjords.
Joli débrief plaisant à lire Wolfeye... dsl pour le rtb mais tu fumais vraiment bien donc le retour s'imposait. J'aurais largement préféré te savoir à mes côtés ! Avant de tomber pluvérisé (atomisé ?), j'ai eu l'occasion de mettre en feu une jeune recrue du JG, de faire fumer bien gras un autre 110. La DCA sur zone était loin d'être mauvaise : ça secouait dur à 4000m !
615sqn_Stirwenn- Flight Lieutenant
- Nombre de messages : 2315
Age : 57
Localisation : Aodou An Armor - Breizh - Dinan
Date d'inscription : 19/10/2008
Re: Bataille au dessus des Fjords.
Les H75 se sont bien battus, très bien même, et s'ils avaient été quatre...
F/JG300_Tempest- Major LW
- Nombre de messages : 10110
Age : 42
Localisation : Paris - France
Date d'inscription : 02/11/2005
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