Les récits des missions

Puisqu'il s'agit d'une pré-campagne. J'ai pensé qu'il ne fallait pas commencer par là où commencerait la vraie campagne.
Ainsi, j'ai donc simulé arbitrairement les quatre premières missions comme elles auraient pu être joué.

Légende



Mission 1



L’Oberst Vylsain faisait partit de ceux qui avait plébiscité la blitzkrieg. C’est tout naturellement qu’il décida d’attaquer les lignes françaises massivement et en deux points. La principale attaque eut lieue à Dinant. La seconde, plus discrète, eut lieue dans la forêt de Montherme. Les renseignements allemands savaient qu’il n’y avait aucune défense dans ce secteur, ils y envoyèrent leurs troupes afin de prendre les lignes françaises à revers.

De son côté, le Colonel Givré avaient morcelé ses compagnies le long de la Meuse au nord de Montherme, il s’agissait de tanks rapides pouvant battre en retraite efficacement si le combat semblait inégal, auquel cas, Givré avait prévu des compagnies de réserves situées au sud de Charleroi et au nord de Hirson qui pouvaient se rassembler en bon ordre très rapidement afin de contre attaquer les divisions de Panzer. Des Breguet et des Fairey Battle se tenaient à disposition prêt à aller pilonner les Panzer pour les retarder.

Les combats commencèrent le 10 mai, vers 8h, des dizaines de chars allemands foncèrent droit sur les lignes alliées. On dénombrait au moins 70 tanks dans ce maigre secteur de 10 kilomètres de long. Les troupes françaises furent ébranlées, elles ne pouvaient opposer à l’ennemi qu’une vingtaine de malheureux véhicules. La compagnie du Capitaine Marceau située au nord de Dinan réussit à détruire 2 Panzer sans subir une seule perte, en revanche, le Lieutenant Richard perdit 12 hommes et un tank, ils commencèrent ainsi à se retirer afin de ne pas perdre toutes leurs troupes, selon le plan de Givré. Les allemands allaient-ils tomber dans le piège ? Rien n’était sûr, d’autant que l’aviation allemande semblait la seule présente dans le ciel bleu de la campagne belge…

En l’air, peu de combats eurent lieu : des dizaines de Stukas foncèrent sur les fortifications françaises de la Meuse afin de réduire au silence les terribles canons de 150 mm. La faible DCA ne pu opposer qu’une défense que symbolique. Les Morane se présentèrent au dessus de Namur vers 8h30, ils firent demi-tour rapidement : au moins 8 chasseurs allemands leur plongèrent dessus, ils ne pouvaient rien faire. Il n’y eu aucunes pertes, des deux côtés.

Mission 2



Sept heures plus tard, alors que les 2 compagnies françaises qui protégeaient Dinan se mettaient en retrait afin de se rassembler, les I, II, et III Abteilung allemands, qui avaient pris les ponts sur la Meuse, stoppèrent les machines. Peut-être avaient-ils compris le plan français ? C’est probable ! Jusqu’à tard le soir, des vagues incessantes de Stukas défilèrent au dessus des maisons, les villageois entendirent régulièrement des explosions gronder au loin. L’inquiétude montait chez ces familles belges que la guerre ne cessait d’apeurer.

En fait, Givré joua un coup de Poker en choisissant un tel plan : il aurait très bien pu perdre deux compagnies si la machine de guerre allemande ne s’était pas arrêté - étrangement - pour la journée ! C’était osé de sa part, mais ce plan réussit miraculeusement, presque sans pertes… si ce n’est les ponts sur la Meuse qui ne furent pas détruit… volontairement ? En fait, Givré était un éternel optimiste, il avait déjà en tête sa contre attaque qu’il pensait sans nul doute serait victorieuse.

C’est vers 11h30 qu’il ordonna aux 1er et 2ème bataillons de se rassembler au sud de Charleroi. Les deux compagnies de Sedan se repliaient en bon ordre et une nouvelle ligne de défense allait pouvoir se créer. Une douzaine de Breguet avaient prit l’air pour attaquer les véhiculent allemands qui entraient dans Dinan, ils étaient suivit de peu par des avions britanniques qui devaient attaquer les chars avant qu’ils ne franchissent les ponts.

De son côté l’Oberst Vylsain continuait de faire avancer ses troupes dans la forêt de Montherme, il n’avait aucune perte. Il ne rencontra que quelques patrouilles dont tous les hommes furent faits prisonniers. Inlassablement, ce courageux homme naviguait entre ses Kompanie sur le front afin de diriger les opérations plus efficacement. Maintenant il voulait apprendre à connaitre son ennemi, il demanda à ce que Abteilung IV lui fasse parvenir les français capturés, il devait les interroger… les opérations reprendraient demain, dès l’aube.

Mission 3



Vylsain était sceptique ! Comment la meilleure armée du monde pouvait reculer aussi rapidement ? Il ne pouvait s’agir que d’une manœuvre militaire. Il comprit rapidement qu’il venait de faire sa première erreur stratégique : il aurait du faire franchir rapidement la Meuse à toutes ses unités, l’Oberst aurait ainsi pu détruire ou capturer une vingtaine de char français. Il fallait maintenant oublier cela et rattraper cette erreur par une habile manœuvre au sud de Dinant. Il allait utiliser l’Abteilung IV pour encercler les troupes en retrait en remontant vers le nord. Dans le même temps, ses trois autres Abteilung allaient franchir la Meuse et fondre sur les chars français en pleine retraite. Pour lui, c’en était sûr, les français étaient piégés !

Le colonel Givré continuait de rassembler ses tanks : au nord d’Hirson, 4 compagnies étaient rassemblées ; à Charleroi, dans quelques heures, il y aurait une quarantaine de tanks groupés en 3 compagnies, enfin, les hommes du Capitaine Durand abandonnaient Sedan afin d’arriver sur les arrières du premier bataillon dirigé par le courageux Commandant Blanchet.

Le Major Klein de l’Abteilung IV informa l’Oberst en fin de matinée qu’une quinzaine de chars français remontait de Sedan en passant par Charleville-Mézières. Cela changeait la donne car ses hommes risquaient à leur tour d’être prit à revers. Vylsain allait concentrer ses avions astucieusement en divers points de la zone. Il envoya quelques chasseurs lourds faire du bruit au dessus de Dinant, la riposte alliée ne se fit pas attendre et les Bf 110 abattirent un Morane. Mais surtout, pendant ce temps, des Heinkel de l’Oberleutnant Mech - discrètement - s’en allaient sur le convoi allié de Charleville. Vers 13h, les avions détruisaient quatre tanks. La colonne française était ébranlée et, le temps perdu pour se remettre en marche allait sauver les chars de Klein.

Mission 4



Du côté allemand, personne ne croyait pas en une victoire aussi facile. Il apparaissait évident que les français préparaient quelques chose. Hitler lui même avait toujours considéré ces vulgaires gaulois comme les meilleurs soldats du monde... après les allemands, évidement !

L’Abteilung IV avançait toujours à travers la forêt de Montherme, il ne restait qu’une dizaine de kilomètre avant d’en sortir. La compagnie du Capitaine Durand s’était remise de son attaque par la Luftwaffe et continuait de remonter vers le nord-ouest tout en se préparant à une nouvelle agression des Jabos allemands.

Vylsain n’en fit rien : il préférait envoyer ses hordes de Stukas sur les positions de Charleroi, faiblement défendues. La chasse allemande continuait de dominer le ciel franco-belge. En face, le colonel Givré ne lui opposait guère que quelques Hurricane britanniques, pilotés par ces quelques valeureux soldats venus prêter main forte à leurs voisins d’outre Manche. Heureusement, des renforts devaient arriver dès demain. Les français allaient peut-être reprendre la supériorité aérienne, ils en avaient bien besoin. Les allemands avançaient dans les terres sans rencontrer aucune résistance crédible.

Givré allait enfin pouvoir montrer ses talents de stratège. Vylsain, lui, réservait à son homologue français une terrible surprise. Les deux stratèges allaient pouvoir s’exprimer dès demain, à l’aube…

Mission 5

Ce sera à partir de cette mission que les OT vont commencer la pré-campagne. Les effectifs et les consignes de dernières minutes seront donnés dans vos QG respectifs samedi, comme convenu. Exceptionnellement, voici la positions de départ de tous les tanks pour la mission 5.



Au vendredi 6 août

Quoi ??? 4 missions et on est toujours pas à Biarritz ???
N'empêche, Colonel Givré, ça lui va bien !
Edit : Au fait, le front ne bouge pas ?

Bordel de cul, quel gros bordel : c'est un noob ce colonel givré, il est temps de ressortir le général givrosky du formol

Par contre Vylsain ton grade en jette mais c'est imprononçable ^^

Edit : Au fait, le front ne bouge pas ?

Nos troupes font retraite... mais le front tiendra, quoiqu'il arrive ! ordre du quartier général !!!

Sisi, le front bouge, j'ai pas voulu surcharger en mettant le nouveau.

Roger !

C'est marrant, même sur la carte on voit de suite que les allemands sont + organisés

Oberst Vylsain, c'est dur à prononcer ? ?

Mission du 6 août sur Charleroi.

c'est super l'effet que tu a donné au image

jolis screens !

Joli Touch !