Debrief. évacuation en Tunisie du 23-09-2011

Pour info, malgré leur infériorité numérique, les pilotes rouges ont abattus 13 appareils de transports allemands dont 1 Me323 qui évacuait une partie de l'état-major de l'Afrika-korps vers la Sicile (objectif caché sur cette mission).

Mentions spéciales au capitaine Oscarbob de l'USAAF qui a descendu 5 Ju52s et 2 chasseurs sur son P39 et au lieutenant Stirwenn de la RAF qui en a descendu 4 + 2 au sol ainsi qu'une DCA, malgré une Flak très violente à Licata, sur son Beaufighter !

BRAVO les rouges !

Allez-y, racontez vos exploits ...ou autres péripéties ( Redfox ? )

Rouge 2 sur Fw 190A4 avec:
- touch en leader,
- wolf en n°3,
- wirbel en n°4
Au décollage nous perdons notre leader qui rencontre un cratère de bombe.
Je prends le lead nous regroupons et patrouillons à 3000 + sur le secteur N/E de la Tunisie. Arrivé sur zone, je pars identifier 2 contacts plus bas qui s’avéreront être 2 109. Je rejoins 3&4 qui sont restés plus haut. Nous patrouillons toujours au dessus de 4Ju-52 qui s'éloignent vers le large quand wolf identifie 2 contacts en TBA...2 P-39. Nous engageons les bandits (2&3); après plusieurs passes, wolf abat le 1er et je me charge du second; nous regroupons et reprenons notre patrouille. 2 P-39 en maraude nous surprennent et j'ai bien failli me faire dessouder par Oscar. Je break et file en tba à plus de 500 km/h. Le temps que je revienne sur zone à bonne altitude, 1 P-39 enquille Wolf, j'arrive fond de train et au sommet d'une chandelle j'explose le P-39 (IA).Oscar est toujours dans le coin et nous mène la vie dure malgré que nous soyons à 2 contre 1. Oscar file le train à Wolf et ne lâchera plus, j'arrive 10 seconde trop tard avant le coup fatal. Je me retrouve seul face à Oscar et j'attaque en B&Z, profitant de mon angle mort il s’échappe mais j'arrive à le repérer. Je me glisse dans ses 6 dessous mais 5 secondes avant que j'utilise mes armes de bord, il me voit et fait un break gauche d'anthologie, j'ai beau tirer sur le manche et appuyer sur la détente avec une forte déflexion, oscar passera au travers de mes obus, je reste offensif derrière lui en basse altitude mais le p-39 part en ciseaux et je décide "d'aborter" l'engagement (perte de l'avantage et du domaine de vol) je file en tba à plus de 500 km/h avec changement de cap toutes les 15 secondes. Je vois oscar au loin qui me cherche désespérément mais je décide RTB.
Je retrouve la base de Tunis, ravagée par les bombes et j'arrive à me poser non sans quelques difficultés. Quant au n°4, après de sérieux problème de gyrocompas, il ira dire "bonjour" aux poissons.

Bref pas très bonne soirée pour le groupe rouge, 1 RTB sur 4.

Seul "groud pounder" présent au 615 ce soir, je décolle de Malte sévèrement protégé par deux flights de Spits. Bref tout le loisir de me concentrer sur la navigation et une fois sur place de me faire pointer les objectifs sol sur la base de Licata.
Effectivement, chaud l'accueil ! La DCA s'active et plombe dur mais les passes répétées feront taire les canons. Pas assez vite cependant car les escortes morflent et les Spits doivent rompre le combat l'un après l'autre. Avec les IA, je travaille au sol à coups de bombes, de roquettes et de straff. Je revendique 8 avions au sol. Avec mon IA survivant, je tire au 270 de la base ennemie pour un cap d'interception des transports ennemis chouchouté par Gil.
Une longue reconnaissance armée, la vigilance qui tombe après le stress de l'attaque sol et soudain l'exclamation de Gil : " Contacts 12h bas !". Je m'arrache les yeux mais ces derniers doivent être sous mon cockpit, invisibles. Je bascule en mitrailleur et j'aperçois au loin bas dans mes six quatre hostiles. Check du cap en cours, inverse et tombé sur le rab de 4 Ju52 que je m'applique à envoyer voir Neptune.
Le retour est long, long et solo car Gil avait mangé une rafale dans le moulin. La mission était plutôt bonne jusque ce que je la plante lamentablement à l'attero : trompé par la brume, je tombe trop court, bien avant la piste et j'efface le train et les moteurs et entame une longue glissade... Too bad ! un si bel oiseau qui avait si bien servi trahi par son pilote à la vue trop basse.

Bein en fait; j'ai attaqué deux me163 avec mon ailier IA, il en a abattu un pendant que je fais une première passe. A bout portant; je lui adresse une bonne giclée de petit calibre et quelques obus de 37mm (impossible de le louper) mais le bestiaux vole toujours (en transportant sa cargaison de viande hachée made in Germanie)
Je me présente pour la nouvelle passe et j'arrose de nouveau le fuselage du 263 (histoire de mélanger un peu le tartare)..il mange sa copieuse cargaison de 37; mais vole toujours. Seulement, sur ma deuxième passe; je suis touché par le syndrome du "aller, un dernier obus et je break"...et paf le renard; je touche le dessus du 263.... bilan, tout le monde direction le sol. Content de savoir que les deux bestiaux étaient occupés par l'état major chleu ... je ne suis pas mort pour rien. Dommage; j'aurais bien continué à marauder avec Oscar

Ces gros bestiaux sont très résistants : pas la peine de viser le fuselage : c'est des grandes caisses vides ; même avec 2 moteurs qui brûlent, il en reste 4 pour faire avancer le monstre... la seule manière de les abattre est de leur couper une aile ! (ou alors comme tu as fait )

NB : c'est des Me323

Très bel engagement avec les 190 de Wolf et Ice.

J'ai bien sué ^^

Le taux de virage et la visibilité arrière du P39 m'ont sauvé les miches plus d'une fois, malheureusement à la fin impossible de reprendre le visuel sur Ice que j'ai perdu dans la brume matinale.

Pour les Ju52, avec le 37mm c'est un vrai tir au pigeon (7 transports descendus d'après mon eventlog) mais c'est bien plus anecdotique qu'une belle passe d'arme avec l'adversaire

Mention spéciale à Taran également qui a été un peu présomptueux dans le "joujou avec les montagnes"