Debrief 24/8/2010 - mission Quattro Stagioni
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Debrief 24/8/2010 - mission Quattro Stagioni
Bf 109G4 - JG 53
Décollage de L'Aquila accompagné de Webert et des frères IA, cap 240, alti 3000
Arrivé sur Isola Margherita, cap 310 jusqu'à Genova - niente !
Retour sur Isola de Pescatori puis Isola Margherita.
Lors du virage droite pour repartir au nord/ouest on identifie 4 appareils en H8, alti 3'000+, fonçant cap nord-est
C'EST DONC NAPOLI !
Horrido ! On lâche les canassons et attaquons par en-dessous... Visiblement les mitrailleurs US ont les crocs !
PAF ! moteur en rade, pilote blessé.
Même pas mal, je continue mon attaque et enflamme le moteur droit d'un B-25.
Il a son compte... et moi aussi. je saute sur la péninsule en I9.
M'en fout, ce soir, je mangerais chaud : risotto aux bolets et Chianti !
(ndlr : l'OKL nous informe que finalement le B25 de Yoyo a fini par exploser au-dessus de Napoli ! )
Décollage de L'Aquila accompagné de Webert et des frères IA, cap 240, alti 3000
Arrivé sur Isola Margherita, cap 310 jusqu'à Genova - niente !
Retour sur Isola de Pescatori puis Isola Margherita.
Lors du virage droite pour repartir au nord/ouest on identifie 4 appareils en H8, alti 3'000+, fonçant cap nord-est
C'EST DONC NAPOLI !
Horrido ! On lâche les canassons et attaquons par en-dessous... Visiblement les mitrailleurs US ont les crocs !
PAF ! moteur en rade, pilote blessé.
Même pas mal, je continue mon attaque et enflamme le moteur droit d'un B-25.
Il a son compte... et moi aussi. je saute sur la péninsule en I9.
M'en fout, ce soir, je mangerais chaud : risotto aux bolets et Chianti !
(ndlr : l'OKL nous informe que finalement le B25 de Yoyo a fini par exploser au-dessus de Napoli ! )
Dernière édition par F/JG300_Tabo le Mer 25 Aoû 2010 - 8:36, édité 1 fois
Re: Debrief 24/8/2010 - mission Quattro Stagioni
J'ai perdu mes ailiers l'un après l'autre... D'abord William sur perte de commande, puis Red sur perte de connexion. Les autres Spitfire IA se promènent au-dessus de la base et malgré mes appels refusent de me suivre. Me voilà donc comme un con tout seul avec mon IA à escorter les B-25. Peu avant d'arriver dans la baie de Napoli, je perds mon ailier IA qui se barre je ne sais pas où mais en tout cas pas pour combattre. Peu avant Napoli, j'aperçois au loin 4 contacts qui remontent gentiment vers les B-25, je suis en tout cas 2000 mètres plus haut. Je pique dessus et je les rattrape gentiment, mais sûrement. Au moment où j'identifie des bandits, des traçantes encadre mon Spit m'obligeant à dégager rapidement, d'après le tir maladroit de loin, je devine avoir à faire à des IA. Ce sont des Macchi. En bas les B-25 se font arroser, un tir sur le leader Macchi le fait dégager moteur fumant vers les terres, ses IA le suivent. Je file vers les B-25 qui en prennent pour leur matricule. Il y a une nuée de contacts autour d'eux, des Bf109 pour la plupart. J'en touche un premier qui dégager en fumant, mais je n'ai pas le temps de l'achever, car j'ai déjà un de ses camarades aux fesses. Heureusement pour moi, la pluspart sont des IA qui tirent comme des pieds, il y a pourtant un avion dans le tas qui semble mieux s'en sortir, profitant d'une brève acalmie, je lui fonce dessus, malheureusement mes multiples manoeuvres évasives m'ont fait perdre mon énergie et mon Spitfire est à l'agonie pour remonter vers le 109 et je fais l'erreur de tirer trop tôt. Split S et il fonce vers le sol, je suis quelques secondes, une brève rafale de 20 qui le touche et je dégage vers un 180 avec un tas de contacts apparement pas contents au cul. Un peu plus loin je vois deux B-25 fumants comme des sapeurs sur un cap retour. Je file au ras de l'eau en faisant des virages larges, un oeil derrière. Au loin, les contacts semblent s'éloigner. Pfuuu, pas mécontent d'être débarrassé d'eux, je remonte gentiment vers le B-25 rescapé, Yoyo a dû se vacher ses moteurs en vrac, le survivant c'est Stirwen qui rentre avec tant bien que mal avec deux moteurs qui cafouillent à qui mieux mieux. Alors que Stir annonce que son moteur 1 vient de rendre l'âme, j'aperçois derrière lui deux contacts qui s'approchent en loucedé. Amis? bandits? J'effectue un grand virage à gauche, bingo, deux 109. Sans hésitations, ils lâchent leur proie et me foncent dessus. Je suis bas, ils sont hauts! Ce sont des scrogneugneu d'IA dont les DB ont une vigueur insoupçonnée. Alors que je gère ma puissance pour ne pas surchauffer, s'en suis une longue, très longue passe d'arme, où entre chaque manoeuvre évasive je profite de chaque mini fenêtre de tir, pour tirer de courtes rafales. Je touche les deux Bf l'un après l'autre, mais pas assez pour leur faire rompre le combat. C'est finalement les casiers et les réservoirs vides qui leur font probablement rompre le combat. Je file vers un 180 au ras des flot un oeil dans le rétroviseur... erreur à ne pas faire lorsqu'on est 10 mètres au-dessus de la flotte, mon hélice heurte la mer et je dois me vacher lamentablement à quelques encablures du Stromboli...
Conclusion: à un Spitfire MkVc/FB contre 16 Bf109G4 et MC 205, c'était un peu tendu du slip quand même heureusement que la majorité des avions que j'ai croisé étaient des IA...
Conclusion: à un Spitfire MkVc/FB contre 16 Bf109G4 et MC 205, c'était un peu tendu du slip quand même heureusement que la majorité des avions que j'ai croisé étaient des IA...
615sqn_Harry- Wing Commander
- Nombre de messages : 8393
Localisation : Al Fayat
Date d'inscription : 26/10/2005
Re: Debrief 24/8/2010 - mission Quattro Stagioni
"Le temps est une arme" :
Au décollage, on ne prend pas le cap direct pour l'objectif mais on fait un large crochet en escomptant que les réservoirs des chasseurs adverses aient un peu soif pour notre arrivée au dessus de la cible. On peut espérer alors qu'ils hésitent à nous suivre pendant le retour cap base. De plus, un chasseur qui gère mal l'attente, l'affut, qui cavale sur une carte pour rien est bien souvent un chasseur nerveux et maladroit.
Cinq minutes avant notre arrivée sur objectif, Yop signale des contacts lointains dans les six. C'est le début de l'enfer : en vol stabilisé et affairé au poste de bombardement pour aligné le Norden il n'y a plus moyen de dévier. Un bon point pour Yop qui a abimé la peinture de plusieurs appareils ennemis. Ces derniers nous alignent comme à la parade et alternent les passes. Yoyo voit ses deux moteurs explosés et va se vacher (je plains déjà les Italiens...). Pas de bol, le crochet n'était pas encore assez large et c'est sur un axe perpendiculaire à la cible que l'on se présente pour la phase de bombardement, on droppe les bombes et on essaie de s'extraire du bouzin. Le retour est long et constamment sous la menace des chasseurs ennemis, les moteurs fument gras et l'un d'entre eux à mi chemin de Naples et Stromboli rend l'âme. En visuel de Stromboli, plus de fuel (trop de fuites, merci les chasseurs) donc je négocie l'atterro sur l'ile en planeur.
Avion posé entier, moteur sauf, juste vu une artillerie ennemie dégagée pendant le bombing. Enfin le plus important : équipage vivant et... libre.
Au décollage, on ne prend pas le cap direct pour l'objectif mais on fait un large crochet en escomptant que les réservoirs des chasseurs adverses aient un peu soif pour notre arrivée au dessus de la cible. On peut espérer alors qu'ils hésitent à nous suivre pendant le retour cap base. De plus, un chasseur qui gère mal l'attente, l'affut, qui cavale sur une carte pour rien est bien souvent un chasseur nerveux et maladroit.
Cinq minutes avant notre arrivée sur objectif, Yop signale des contacts lointains dans les six. C'est le début de l'enfer : en vol stabilisé et affairé au poste de bombardement pour aligné le Norden il n'y a plus moyen de dévier. Un bon point pour Yop qui a abimé la peinture de plusieurs appareils ennemis. Ces derniers nous alignent comme à la parade et alternent les passes. Yoyo voit ses deux moteurs explosés et va se vacher (je plains déjà les Italiens...). Pas de bol, le crochet n'était pas encore assez large et c'est sur un axe perpendiculaire à la cible que l'on se présente pour la phase de bombardement, on droppe les bombes et on essaie de s'extraire du bouzin. Le retour est long et constamment sous la menace des chasseurs ennemis, les moteurs fument gras et l'un d'entre eux à mi chemin de Naples et Stromboli rend l'âme. En visuel de Stromboli, plus de fuel (trop de fuites, merci les chasseurs) donc je négocie l'atterro sur l'ile en planeur.
Avion posé entier, moteur sauf, juste vu une artillerie ennemie dégagée pendant le bombing. Enfin le plus important : équipage vivant et... libre.
615sqn_Stirwenn- Flight Lieutenant
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Localisation : Aodou An Armor - Breizh - Dinan
Date d'inscription : 19/10/2008
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