Escadrille de chasseurs Saegheh
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615sqn_Yoyo
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Escadrille de chasseurs Saegheh
L'Iran se dote de la première escadrille de chasseurs Saegheh
La première escadrille de chasseurs-bombardiers Saegheh (Coup de tonnerre) sera prochainement opérationnelle en Iran, a annoncé jeudi l'agence iranienne FARS se référant au commandant adjoint de l'Armée de l'air iranienne Seyed Mohammad Alawi.
"Il s'agit de la première escadrille composée de chasseurs de fabrication nationale. Ces chasseurs ont été conçus grâce aux efforts conjugués des spécialistes militaires iraniens et du ministère de la Défense", a indiqué le général Alawi.
Le général Alawi a également confirmé l'intention de Téhéran de lancer la production en série du chasseur Saegheh de quatrième et de cinquième générations.
Le premier chasseur iranien Saegheh a été testé lors d'un exercice militaire, "Frappe de Zolfaghar", en septembre 2006. En 2007, les Saegheh ont été livrés à l'armée. Selon les militaires iraniens, le Saegheh est similaire au chasseur américain F-18, mais ses performances techniques et tactiques sont meilleures. L'Iran envisage de produire le chasseur Saegheh en série.
Vendredi dernier, l'Iran a mis à l'eau son premier destroyer de fabrication nationale Jamaran chargé de protéger les frontières méridionales du pays. La cérémonie de remise du navire à la Marine s'est déroulée dans le Golfe en présence de l'ayatollah Sayed Ali Khamenei, Guide suprême de la république islamique d'Iran.
Le 29 septembre 2009, l'Iran s'est doté d'une vedette lance-missiles de fabrication nationale baptisée Sina, qui a été mise à l'eau dans le port d'Anzali, sur la mer Caspienne.
RIA Novosti/ Russie
http:///fr.rian.ru/world/20100225/186131749.html
La première escadrille de chasseurs-bombardiers Saegheh (Coup de tonnerre) sera prochainement opérationnelle en Iran, a annoncé jeudi l'agence iranienne FARS se référant au commandant adjoint de l'Armée de l'air iranienne Seyed Mohammad Alawi.
"Il s'agit de la première escadrille composée de chasseurs de fabrication nationale. Ces chasseurs ont été conçus grâce aux efforts conjugués des spécialistes militaires iraniens et du ministère de la Défense", a indiqué le général Alawi.
Le général Alawi a également confirmé l'intention de Téhéran de lancer la production en série du chasseur Saegheh de quatrième et de cinquième générations.
Le premier chasseur iranien Saegheh a été testé lors d'un exercice militaire, "Frappe de Zolfaghar", en septembre 2006. En 2007, les Saegheh ont été livrés à l'armée. Selon les militaires iraniens, le Saegheh est similaire au chasseur américain F-18, mais ses performances techniques et tactiques sont meilleures. L'Iran envisage de produire le chasseur Saegheh en série.
Vendredi dernier, l'Iran a mis à l'eau son premier destroyer de fabrication nationale Jamaran chargé de protéger les frontières méridionales du pays. La cérémonie de remise du navire à la Marine s'est déroulée dans le Golfe en présence de l'ayatollah Sayed Ali Khamenei, Guide suprême de la république islamique d'Iran.
Le 29 septembre 2009, l'Iran s'est doté d'une vedette lance-missiles de fabrication nationale baptisée Sina, qui a été mise à l'eau dans le port d'Anzali, sur la mer Caspienne.
RIA Novosti/ Russie
http:///fr.rian.ru/world/20100225/186131749.html
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
Ils sont fort en copier/coller les Iraniens:
Ca:
Plus ça:
nous donnes ça, le Saeghehe:
Bienvenue dans les années '60 Iranian air Force....
Ca:
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nous donnes ça, le Saeghehe:
Bienvenue dans les années '60 Iranian air Force....
F/JG300_Magnifico- Hauptmann
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Date d'inscription : 27/08/2006
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
Faîtes gaffe... s'ils vous voient.
Par contre, leur avions ont pas de missiles, dommage
Par contre, leur avions ont pas de missiles, dommage
615sqn_Yoyo- Flying Officer
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Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
ah ouais c'est du lourd ...
Bin au moins ça les occupe ^^
Bin au moins ça les occupe ^^
RTA_Mc givré- Lt Colonel
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Localisation : Ta soeur
Date d'inscription : 02/09/2006
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
Ils sont graves... j'crois que ça suffit comme argument.
615sqn_Yoyo- Flying Officer
- Nombre de messages : 10343
Date d'inscription : 02/01/2006
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
Je critique pas, on a déjà assez d'emm.... avec la Lybie.
N'empêche que, effectivement, leur nouvelle bécane du 21ème siècle ressemble méchamment à un zing des années 70 customizé...
N'empêche que, effectivement, leur nouvelle bécane du 21ème siècle ressemble méchamment à un zing des années 70 customizé...
ça doit être de l'humour d'aviateur ! ou alors y sait pas compter et y confond 5 et 18...le Saegheh est similaire au chasseur américain F-18, mais ses performances techniques et tactiques sont meilleures.
J'espère pour le succès de leur industrie exportatrice que ça aussi c'est de l'humour...L'Iran envisage de produire le chasseur Saegheh en série.
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
ça peut répondre à ta question:GR_2/33_Diabolo a écrit:pourquoi ils s'équipent autant ?
Le Turkménistan, pays aux énormes réserves de gaz naturel, conclut un accord avec la Chine et la Russie et surtout l’Iran, sans que les Etats-Unis n’aient leur mot à dire ? Même si cet événement est pratiquement passé inaperçu en France et plus généralement en Occident, voilà qui pourrait changer la donne de la redistribution des ressources énergétiques dans le monde. Comme le démontre cette analyse, l’Iran est loin d’être au bord de l’effondrement et semble au contraire se trouver des alliés de poids au Moyen-Orient. De quoi modifier notre grille de lecture sur les nouvelles nous parvenant de cette région stratégiquement cruciale.
En janvier dernier, l’inauguration du gazoduc Dauletabad-Sarakhs-Khangiran reliant le nord de l’Iran dans le bassin de la mer Caspienne aux gisements gaziers turkmènes est sans doute passée inaperçue dans la cacophonie médiatique occidentale, pour qui le régime islamique de Téhéran vit son Apocalypse Now.
L’événement est lourd de messages concernant la sécurité de la région. En l’espace de trois semaines, le Turkménistan a décidé d’attribuer la totalité de ses exportations de gaz à la Chine, la Russie et l’Iran : il est d’autant moins intéressé par les projets de tracés proposés par les États-Unis et l’Union Européenne. Entendons-nous au loin les notes d’une symphonie jouée de concert par la Russie, la Chine et l’Iran ?
Ce gazoduc, long de 182 km, a beau démarrer modestement avec une capacité de 8 milliards de mètres cubes (8 G.m3) de gaz, sa capacité annuelle n’en est pas moins de 20 G.m3. Ce volume satisferait, en Iran, les besoins des habitants de la plaine côtière de la mer Caspienne et permettrait à Téhéran de réserver à l’exportation la production des puits gaziers exploités dans le sud de son territoire. Le contrat satisfait pleinement les deux parties : Achgabat s’assure un marché à ses portes ; le nord de l’Iran n’a plus à réduire sa consommation par crainte des pénuries en hiver et Téhéran peut donc affecter ses surplus à l’exportation. De plus, via l’Iran, le Turkménistan peut développer d’autres voies de transport vers le reste du monde. Aussi l’Iran peut-il espérer jouir pleinement des avantages de sa position géographique parfaite pour servir de terminal aux exportations gazières turkmènes.
Nous assistons à une redistribution des cartes de la coopération énergétique au niveau régional qui n’a que faire des « supermajors » du pétrole [1]. Comme d’accoutumée, la Russie mène le jeu ; la Chine et l’Iran suivent l’exemple. La Russie, l’Iran et le Turkménistan occupent respectivement le premier, le second et le quatrième rang mondial pour ce qui est des réserves de gaz. Par ailleurs la Chine va s’imposer, au cours de ce siècle, le grand pays importateur par excellence. Tout cela a des conséquences capitales sur la stratégie globale des États-Unis.
Le gazoduc construit par l’Iran et le Turkménistan fait fi de la politique américaine envers l’Iran. Les États-Unis menacent l’Iran de nouvelles sanctions et prétendent que « Téhéran se trouve de plus en plus isolé. » Mais l’on voit malgré tout Mahmoud Ahmadinejad parcourir l’Asie Centrale à bord de son jet présidentiel, être accueilli sur un tapis rouge à Achgabat par son homologue Gurbanguly Berdymukhammedov, et devant nos yeux émerge un nouvel axe économique. La diplomatie coercitive des États-Unis n’a pas porté ses fruits. Le Turkménistan, dont le produit national brut atteint 18,3 milliards de dollars, a bravé l’unique superpuissance (au PNB de 14,2 billions de dollars – 14,2.1012 ou 14 200 milliards). Pire encore, il a traité le dossier comme une affaire courante.
Ce drame comporte aussi ses ramifications. Pour commencer, Téhéran affirme avoir scellé un accord avec Ankara pour exporter le gaz turkmène vers la Turquie en passant par le gazoduc existant, long de 2 577 km, reliant Tabriz, dans le nord de l’Iran, et Ankara. On le voit, la Turquie mène sa politique étrangère de manière indépendante, aspirant elle aussi à devenir une plaque-tournante dans la distribution de gaz vers les marchés européens. L’Europe pourrait ainsi perdre la bataille qu’elle mène pour s’octroyer un accès direct aux réserves du bassin de la mer Caspienne.
Deuxièmement, la Russie ne semble pas s’inquiéter à l’idée que la Chine trouve des sources d’approvisionnement énergétique Asie Centrale. La demande européenne de gaz russe a chuté et les pays producteurs d’Asie Centrale s’installent sur le marché chinois. La Russie ne devrait connaître aucun problème d’approvisionnement particulier en conséquence des importations chinoises (que ce soit pour sa consommation intérieure ou pour ses exportations). Elle est suffisamment bien implantée sur le marché de l’énergie en Asie Centrale, et autour de la mer Caspienne, pour éviter toute pénurie d’énergie.
Ce qui importe plus que tout, pour la Russie, c’est de ne pas voir s’éroder son statut de premier fournisseur d’énergie vers l’Europe. Tant que les pays producteurs d’Asie Centrale ne manifestent aucune demande pressante pour la construction de nouveaux pipelines transcaspiens sous tutelle américaine, la Russie n’a rien à redire.
Au cours de sa récente visite à Achgabat, le Président russe Dmitri Medvedev a normalisé les relations entre la Russie et le Turkménistan au sujet des questions énergétiques. Ce resserrement des liens avec le Turkménistan constitue une avancée majeure pour les deux pays. Premièrement, le réchauffement significatif de leurs relations permet au Turkménistan de maintenir l’exportation vers la Russie d’un volume annuel de 30 G.m3 de gaz. Deuxièmement, pour citer Medvedev : « Pour la première fois dans l’histoire des relations qui unissent la Russie et le Turkménistan, la base de calcul de prix pour l’approvisionnement en gaz sera élaborée de manière absolument comparable à celle des marchés européens. » Certains commentateurs russes affirment que Gazprom ne tirera aucun profit à acheter le gaz turkmène et qu’en outre, si Moscou a accepté de payer le prix fort, c’est d’abord parce que le Kremlin est résolu à ne pas laisser un seul mètre cube de gaz à la disposition d’autres projets de gazoducs, et surtout pas le Nabucco, un projet soutenu par les États-Unis.
Troisièmement, et contrairement à ce que distille la propagande occidentale, Achgabat ne voit pas dans le gazoduc chinois une solution de remplacement à Gazprom. La politique des prix pratiquée par la Russie constitue une garantie que Gazprom demeure un client irremplaçable pour le Turkménistan. Les négociations sur le prix de vente du gaz attribué à la Chine se poursuivent, mais le tarif final ne pourra jamais concurrencer l’offre russe.
Quatrièmement, la Russie et le Turkménistan ont réitéré leur engagement pour développer le gazoduc transcaspien le long de la côte est de la mer Caspienne jusqu’à la Russie, dont la capacité atteindra 30 G.m3. A l’évidence, grâce aux réserves turkmènes (et kazakhs), la Russie espère centraliser de plus grandes quantités de gaz naturel en provenance d’Asie Centrale.
Cinquièmement, Moscou et Achgabat se sont également entendus pour construire conjointement un gazoduc est-ouest reliant tous les puits de gaz turkmènes à un même réseau afin de permettre l’acheminement de gaz vers la Russie, la Chine et l’Iran depuis n’importe quel gisement.
On le voit bien, dans le contexte d’intensification des avancées américaines en Asie Centrale, la visite de Medvedev à Achgabat n’est pas sans conséquences sur la sécurité de la région. Lors d’une conférence de presse commune avec Medvedev, Berdymukhammedov déclarait que Moscou et Achgabat partageaient une vision générale sur la situation de la zone, en particulier à propos de l’Asie Centrale et du bassin de la mer Caspienne. Il a également souligné le fait que les deux pays ne considèrent pas la sécurité de l’un sans envisager celle de l’autre. Medvedev confirmait quant à lui la similitude de leurs analyses, partagées unanimement, sur les sujets sécuritaires et leur volonté de travailler ensemble.
En cherchant à contourner la Russie, à laisser la Chine sur le bas-côté et à isoler l’Iran, la stratégie diplomatique de développement des pipelines mise en œuvre par les États-Unis dans la région de la mer Caspienne n’a pas fonctionné. La Russie prévoit à présent de doubler son importation de gaz en provenance d’Azerbaïdjan, entravant ainsi davantage les efforts occidentaux pour faire de Bakou un fournisseur du Nabucco. Aux côtés de la Russie, l’Iran émerge en tant qu’importateur de gaz azerbaïdjanais. En décembre, l’Azerbaïdjan signait un accord pour livrer du gaz à l’Iran via le gazoduc Kazi-Magomed-Astara qui s’étend sur 1 400 km.
Le moteur de ces développements est l’irrépressible élan pris par le South Stream et le North Stream russes, qui alimenteront en gaz l’Europe du Nord et du Sud. Les obstacles érigés contre le North Stream ont été levés après le feu vert, sur le plan environnemental, du Danemark (en octobre), de la Finlande, de la Suède (en novembre) et de l’Allemagne (en décembre). Les travaux de construction du gazoduc démarreront au printemps.
Gazprom, les industriels allemands E.ON Ruhrgas et BASF-Wintershall, et Gasunie, une entreprise néerlandaise de transport gazier, ont investi ensemble 12 milliards de dollars pour la construction du gazoduc North Stream, dont le parcours évite le tracé des voies de transit datant de l’époque soviétique traversant l’Ukraine, la Pologne et la Biélorussie. Long de 1 220 km, il part du port de Vyborg dans le nord-ouest de la Russie, passe sous la mer Baltique et débouche dans le port allemand de Greifswald. La capacité de 27,5 G.m3 (par an) sera atteinte l’année prochaine avec la mise en service d’un premier tronçon, avant de doubler en 2012. Le North Stream va profondément affecter la géopolitique de l’Eurasie, les équations transatlantiques et les liens entre la Russie et l’Europe.
De toute évidence, l’année 2009 a été une année historique dans la « guerre de l’énergie ». D’abord, l’inauguration du gazoduc chinois par le président Hu Jintao le 14 décembre, ensuite, celle du terminal pétrolier près du port de Nakhodka en Sibérie Orientale par le Premier Ministre Vladimir Poutine le 27 décembre (l’oléoduc qui le rejoint et qui relie les nouveaux gisements de la Sibérie Orientale à la Chine et aux nouveaux marchés asiatiques sur le Pacifique, pour un budget conséquent de 22 milliards de dollars), et enfin, celle du gazoduc iranien par Ahmadinejad le 6 janvier dernier. Subtilement, c’est presque toute la carte énergétique de l’Eurasie et de la région de la mer Caspienne qui s’est vue redessinée.
L’année 2010 démarre sur cette nouvelle interrogation fascinante : la Russie, la Chine et l’Iran vont-ils coordonner leurs prochaines actions ou, au moins, harmoniser leurs intérêts conflictuels ?
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
Merci pour toutes ces infos Golgoth qui m'étaient étrangères. J'ai qu'à arrêter de regarder les infos à la télé et me débrouiller plutôt sur internet ...
Moi qui suis muté en Turquie cet été pour prendre un poste OTAN, je fais moins le malin d'un seul coup !!
Moi qui suis muté en Turquie cet été pour prendre un poste OTAN, je fais moins le malin d'un seul coup !!
F/JG300_Naxos- Oberfeldwebel
- Nombre de messages : 1583
Date d'inscription : 30/03/2009
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
Tu fais quoi Naxos exactement ?
615sqn_Yoyo- Flying Officer
- Nombre de messages : 10343
Date d'inscription : 02/01/2006
Re: Escadrille de chasseurs Saegheh
F/JG300_Naxos a écrit:...J'ai qu'à arrêter de regarder les infos à la télé et me débrouiller plutôt sur internet ...
C sur que tu y perds rien
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